Amis chers, gens beaux et heureux,
Do what thou wilt shall be the whole of the Law.
C'est l'aube du quatrième dimanche après Samhain, qui se trouve être aussi le premier des quatre dimanches de l'Avent — l'Avent, qui a pour objet de me fournir, chaque année, une excuse très "spirituelle" lorsqu'une jeune femme m'enguirlande au téléphone parce que j'ai négligé de la rappeler ("Je n'ai pas oublié, mais je tiens à ce que tu vives le Mystère de l'Attente qui est au cœur du temps de l'Avent"), ainsi que de faire éclore, en chacun de nous, la réflexion suivante : Ah ! si seulement les bois embrumés, le ciel gris pâle et le froid mordant avaient le même effet que la cocaïne !
Amis chers, la Lecture de ce jour est le Liber DCCCXIII vel ARARITA sub figûra DLXX, chapitre 7, versets 10 à 13.
10. Then was accomplished all that which was to be accomplished.
Commentaire : Ce que j'entends comme : c'est ennuyeux d'avoir déjeuné, car aussitôt, on n'a plus faim — Je veux dire : quelque chose, dans ce verset, sonne, très dysphorie post-coïtale, sur l'air de : parvenu au bonheur, la civilisation n'a plus qu'à prendre, tout doucement, le chemin des décadences... Ô inertie du Be-with-Us !... Je me souviens d'avoir fait, il y a un an tout juste, plein de réflexions hyper constructives à ce sujet :
Commentaire : Et nous redisons : la guerre est un phénomène contre-évolutif qui ne fait qu'éliminer les meilleurs, même si Jocho Yamamoto préfère la formule : "la Voie du Samouraï, c'est la mort", qui est juste une façon carrément plus jaune d'établir le même désastreux constat.
Je crois que mon aversion pour le clairon qui pouète doit beaucoup au fait que je sois né au début de années '70 — J'écrivais, dans mon Registre, l'année dernière, à ce sujet :
Commentaire : L'étoile, i.e. l'étincelle divine, demeure jusque dans le parachèvement ultime de la dégringolade humaine (Tri, 27) – On décèle, par exemple, en filigrane, le saint désir de mettre à mort le Démiurge dans l'actuelle hystérie "anti-patriarcat" des imbaisables à daddy issues.
Pour le reste, j'ai écrit :
Commentaire : Et de citer, à nouveau, mon propre Registre :
Beau dimanche à tous.
Love is the law, love under will.
- ☉︎ in 6° ♐︎ : ☽︎ in 17° ♍︎ : ☉︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.
Do what thou wilt shall be the whole of the Law.
C'est l'aube du quatrième dimanche après Samhain, qui se trouve être aussi le premier des quatre dimanches de l'Avent — l'Avent, qui a pour objet de me fournir, chaque année, une excuse très "spirituelle" lorsqu'une jeune femme m'enguirlande au téléphone parce que j'ai négligé de la rappeler ("Je n'ai pas oublié, mais je tiens à ce que tu vives le Mystère de l'Attente qui est au cœur du temps de l'Avent"), ainsi que de faire éclore, en chacun de nous, la réflexion suivante : Ah ! si seulement les bois embrumés, le ciel gris pâle et le froid mordant avaient le même effet que la cocaïne !
Amis chers, la Lecture de ce jour est le Liber DCCCXIII vel ARARITA sub figûra DLXX, chapitre 7, versets 10 à 13.
10. Then was accomplished all that which was to be accomplished.
Commentaire : Ce que j'entends comme : c'est ennuyeux d'avoir déjeuné, car aussitôt, on n'a plus faim — Je veux dire : quelque chose, dans ce verset, sonne, très dysphorie post-coïtale, sur l'air de : parvenu au bonheur, la civilisation n'a plus qu'à prendre, tout doucement, le chemin des décadences... Ô inertie du Be-with-Us !... Je me souviens d'avoir fait, il y a un an tout juste, plein de réflexions hyper constructives à ce sujet :
Reçu un mail de Bastia !11. And All and One and Naught were slain in the slaying of the Warrior 418,
Avant Alizée, la Corse n'avait produit que Napoléon, Charles Pasqua et Tino Rossi. Mais tout a changé depuis la Danse des Elfes.
C'est ce que je disais hier à un ami texan (très nouveau riche, plus-à-droite-tu-tombes, met des glaçons dans le Château Pétrus — texan, en somme) :
« Eva Angelina est la preuve vivante que vous devez importer davantage de Mexicains !
« En effet, quel est l'ennemi ? — La Chine.
« En quoi réside la force des Chinois ? — Work Ethic. Et ils ne peuvent même pas prononcer Work Ethic.
« Les Chinois sont d'accord pour bosser dix-huit heures de rang sous le cagnard, payés en cacahuètes et je ne sais même pas s'ils ont des cacahuètes en Chine, mais enfin payés en le truc que les Chinois grignotent à l'apéro.
« Ils ne sont heureux qu'à mille dans une cave, triment comme des forçats du XIXème siècle, et s'ils ont tous la même coupe de cheveux, ce n'est pas grave, c'est même un plus.
« Vos Blancs sont tous de la graine de boomer et bossent pour le week-end...
« Qui vous reste t-il pour espérer faire pièce à Xi Jinping ? — Les Latinos, qui sont conservateurs jusqu'au pétainisme et l'ont prouvé en votant Trump à 100 %.
« Les Latinos n'ont besoin que d'une image pieuse de la Vierge Marie, d'un contremaître ayant pris option espagnol-techno en 4ème, et que leur fille ne ramène pas un Noir.
« Ils sont aussi stakhanovistes et dépourvus de courage syndical que les Chinois, mais leurs femmes ont un butt. (Les femmes hispaniques me font compulsivement grimper aux rideaux et ça désole mon décorateur, mais je ne recommande pas les amantes chinoises: deux heures d'efforts pour entrer parce que c'est hyper étroit et, parce que c'est hyper étroit, on conclut aussitôt entré ! Là aussi : stakhanovisme et salaire frustrant ! Mais Eva Angelina peut en dire autant de son propre secteur professionnel... CQFD.) »
Bref ! On sait que le Jour du Be-with-Us approche et que la cocaïne est péruvienne quand une lettre de Corse vous fait disserter sur la force de travail une veille de Shabbat !!
Commentaire : Et nous redisons : la guerre est un phénomène contre-évolutif qui ne fait qu'éliminer les meilleurs, même si Jocho Yamamoto préfère la formule : "la Voie du Samouraï, c'est la mort", qui est juste une façon carrément plus jaune d'établir le même désastreux constat.
Je crois que mon aversion pour le clairon qui pouète doit beaucoup au fait que je sois né au début de années '70 — J'écrivais, dans mon Registre, l'année dernière, à ce sujet :
Je suis de la Génération X, i.e. né durant l'Ere du Paradis Entrevu (1966-1976) : Make Love Not War est la première vibe dans laquelle j'ai baigné en ce monde.12. In the slaying of the subtlety that expanded all these things into the Twelve Rays of the Crown,
Mais (j'ai déjà eu l'occasion de déplorer tout ça en cours) érotisme et arts martiaux se sont croisés en sens inverse depuis la révolution néocons.
Quand j'avais treize ans, le seul attrait du collège était que l'on pouvait, en chemin pour s'y rendre, faire un crochet par chez la buraliste pour acheter Playboy ou Penthouse, et un paquet de Rothmans Bleues.
Et ça ne posait aucun autre problème que le sourire narquois de la buraliste.
En revanche, pour ce qui était des sports de type confrontation-physique-face-à-face (même si, bien sûr, la lecture de Playboy à treize ans et le sourire narquois de la buraliste sont des confrontations physiques face à face hyper sportives), en fait de sports de combat, dis-je, même le full contact était interdit.
La boxe thai avait une réputation d'ultraviolence insoutenable, mais était considérée comme une spécialité typique, tel le Temple du Bouddha couché, le riz gluant à la mangue et la pédophilie gay.
Le maximum autorisé était la boxe française.
Inversement, de nos jours, Florence Foresti, censée être une comique "cool", pousse des hululements de chaisière outragée et se fend de tweets scandalisés si ses enfants aperçoivent, sur un kiosque, la couverture de Hot Video où une pornstar n'en montre pas plus que n'importe quelle nana à la plage – au lieu qu'en terme de sports violents, le MMA vient d'être intégralement légalisé en France.
Attention ! Je suis un très grand fan de MMA féminin, je suis le groupie de Gina Carano, je révère son asymétrie faciale et son nez signé Picasso – mais il est incontestable que le combattant MMA de base, à l'âge canonique de trente-huit ans, ne sait plus épeler son nom, ne se rappelle plus où il habite et n'a plus un seul centimètre du corps qui ne soit pas perclus de douleur.
Cela dit, tout ceci est également vrai de la pornstar...
Commentaire : L'étoile, i.e. l'étincelle divine, demeure jusque dans le parachèvement ultime de la dégringolade humaine (Tri, 27) – On décèle, par exemple, en filigrane, le saint désir de mettre à mort le Démiurge dans l'actuelle hystérie "anti-patriarcat" des imbaisables à daddy issues.
Pour le reste, j'ai écrit :
Toutes ces histoires de patriarcat sont absolument ridicules. N'importe quelle jolie fille — même moyennement jolie — sait depuis la classe de 5ème qu'elle dirige le monde. Mon drame est d'avoir toujours été plus attiré par les joueuses de roller derby que par les bècebèges à plan de carrière. Thanksgiving me rappelle la nuit où, au Crillon, j'ai sauté, après le Bal, dans sa robe Ungaro, une débutante sublime, fille de diplomate, et ne suis parvenu à maintenir ma motivation qu'en pensant à Joan Jett en train de changer un pneu.13. That returned unto One, and beyond One, even unto the vision of the Fool in his folly that chanted the word ARARITA, and beyond the Word and the Fool ; yea, beyond the Word and the Fool.
Du reste, on m'écrit que je pratique l'exégèse comme on commente un match de roller derby et je ne sais pas si c'est un hate mail.
J'ai tellement de haters !
J'estime que 50% des internautes qui écoutent les cours en ligne le font par animosité fascinée.
C'est comme pour le catcheur heel et les bons Walt Disney où le méchant est cool. Nulle part ailleurs vous ne trouverez quelqu'un avec ma taille, mon nez, mon crâne d'extra-terrestre et mes doigts de mandarin chinois !
C'est le piquant, le kink, la raison pour laquelle on boit du Red Bull.
On ne boit pas de Red Bull pour la taurine ou la saveur de soda sucré mélangé à la vodka Grey Goose. On le boit pour l'ingrédient imprononçable, — innommable, devrais-je dire, tant il est chimique, — l'excipient qui a le nom d'un groupe de k-pop qui aurait un nom de code-barre — le truc abominablement synthétique dont on ignore ce qu'il fait là et dont on apprend par la suite que l'industrie s'en sert également pour fabriquer des jantes et des seins de pornstars. Je ne sais pas ce que c'est, mais j'en veux dans mon vaccin !
Commentaire : Et de citer, à nouveau, mon propre Registre :
Je me suis rendu compte que M(40) + A(1) + G(3) + U(6) + S(60) = 110 = סכל = un Fou.Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.
Bien sûr, Chokhmah, Sphère du Sage à laquelle appartient le Magus, s'alimente au Divin via le Sentier du Fou א — Un Sage est le contraire d'un intellectuel — D'où l'effroyable iniquité qui permet, tout au long de l'histoire humaine, au médiocre de se venger de sa médiocrité en appelant l'homme providentiel un malade ou un marginal, dans l'espoir de le discréditer aux yeux de la plèbe — Et c'est là que se trouve l'Humour Divin, puisque s'il y a deux choses dont le Sage n'a cure — deux choses dont, < dans sa folie >, il a oublié jusqu'à l'existence, — ce sont bien le jugement des médiocres et l'avis de la plèbe !
Voilà tout Aleph א, tout le Mystère du Zéro Primordial, tout l'Arcane du Fou : l'omniprésente < conspiration des malvenus contre celui qui va son chemin d'un cœur léger > (comme disait Friedrich Nietzsche, de sainte mémoire) vs. l'incapacité de celui qui va son chemin d'un cœur léger de porter le moindre intérêt conscient à l'existence physique des malvenus.
Beau dimanche à tous.
Love is the law, love under will.
- ☉︎ in 6° ♐︎ : ☽︎ in 17° ♍︎ : ☉︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.
Précédents commentaires sur ce péricope :
. L'existence en tant que théâtre Nō (2019)
. ☉︎ in 5° ♐︎ (2020)
. ☉︎ in 5° ♐︎ (2020)