mercredi 30 juin 2021

mardi 29 juin 2021

Wear something scarlet

Amis chers, gens beaux et heureux,

Do what thou wilt shall be the whole of the Law.

C'est le premier mardi après les feux de Litha et nous faisons mémoire de Simon le Magicien, que les hommes justes appellent "père de la Gnose" et les chrétiens "père de toutes les hérésies". 

Simon est décrit tour à tour, en fonction de l'évêque du IIème siècle à qui vous demandez, comme juif renégat, samaritain antitalmudique, transfuge des écoles de tendance perso-égypto-pythagoricienne, gourou charismatique fondateur d'une religion nouvelle, thaumaturge haut de gamme, sorcier dangereux, mystagogue, charlatan, apôtre, Messie et incarnation divine — Il ne manque qu'"aristocrate hitlérien" pour que je puisse me présenter comme son guilgoul intégral.

Ce qui est attesté, c'est que l'anecdote fameuse de la tentative d'achat de l'initiation est, à l'origine, un reproche adressé à Paul de Tarse par les Ebionites (secte pratiquant un judéo-christianisme inversé, c'est-à-dire considérant que Jésus est un phénomène interne à la communauté juive et ne concerne en aucun cas les goyim) et que ce reproche fut précipitamment zappé sur Simon par les chrétiens ("simonie") lorsque Ebionites et Pauliniens se réconcilièrent, c'est-à-dire longtemps après la mort du Mage.

F m'a dit : "Il y a quelque chose de BHL, voire de Fernand Nathan, dans ce genre de falsification" — J'ai répondu : "Nah. Il y a qu'il faut jeter les chrétiens aux lions et étudier l'Apophasis Megalê pendant que les lions déjeunent."

Amis chers, la Lecture de ce jour est le Liber XXX Aerum vel Saeculi sub figvrâ CCCCXVIII, Æthyr 16.

Nous lisons :
[T]he virgin that rode upon the bull cometh forth, led by all those Angels of the Holy Sevenfold Table, and they are dancing round her with garlands and sheaves of flowers, loose robes and hair dancing in the wind. And she smiles upon me with infinite brilliance, so that the whole Aethyr flushes warm, and she says with a subtle sub-meaning, pointing downwards: By this, that. (VV 16 § 19)
Et Sir Aleister commente :
This is Babalon, the true mistress of the Beast; of Her all mistresses on lower planes are but avatars.
Ainsi, principe de base : toute femme qui s'unit à moi est un avatar de Babalon, une femme écarlate, c'est-à-dire une perspective que DIEU m'offre sur Lui en réponse aux interrogations spécifiques de l'étape spirituelle à laquelle je me trouve au moment précis du rapport en question — ce qui, dans mon cas, confère au Club Rouge de Zürich un statut de cathédrale, voire de basilique.

- Saviez-vous, Sir, que certain répugnant lobby voulait, l'année dernière, prendre prétexte de la "pandémie" pour exiger la fermeture définitive des bordels zürichois ?

- Que voulez-vous, mon cher ? Il n'y a plus de religion... Cela dit, belle occasion de rappeler que la scarlet woman de Simon le Magicien était une prostituée nommée Hélène.

D'une façon générale, ne plaisantez pas avec Babalon : une magnifique escorte black, dans un bar à bouchons français de province, m'a, une nuit, brusquement raconté, d'un trait, toute mon existence, et donné les meilleurs conseils que j'ai reçus de ma vie, alors que nous finissions la treizième bouteille — elle était comme Paracelse : extralucide quand elle voyait double.

Du coup, ma gynolâtrie personnelle fait-elle de moi un saint homme ou un hérésiarque ? J'ai, en 2012 e.v., dans un texte franchement intitulé Jamais Trop, précisé la nature de mon rapport aux femmes :
[I]l n’y a jamais trop de femmes. Je ne dis pas cela pour de basses raisons sexuelles, mais bien parce qu’elles ont des seins magnifiques. D’autre part, je préfère la compagnie des femmes à celle des hommes – et, même, oui ! – tenez-vous bien ! – plus une femme est belle, plus sa présence m’est agréable, ce qui me distingue de l’enculé mondain de base, qui n’aime à fréquenter que les vieilles dondons à colliers de perles ou les jeunes dondons de type gauche-caviar. Contrairement à lui, je ne pourrais jamais être coiffeur. Et je suis bien trop narcissique pour colporter des ragots sur autrui.

En revanche, j’aime enseigner. C’est un fait bien connu des Magiciens, que les meilleures élèves sont toujours des femmes. Elles veulent apprendre, non entrer en compétition. Le point faible de l’homme est son besoin de se taper sur la poitrine. S’il est un gay refoulé, c’est encore pire, puisque ses provocations comportent le désir plus ou moins conscient de se faire rabrouer par un mâle dominateur, et qu’il appelle donc constamment la sanction.

Du coup, à moins qu’un homme ne soit éclectique, digne, talentueux et très bien élevé, faire amitié ne m’intéresse guère. C’est là un grand compliment que j’adresse à mes vieux potes et à mes proches compagnons de chouille ! Un homme doit être supérieur, au lieu qu’une femme peut se permettre une foule de petits défauts, pourvu qu’elle soit jolie et attentive. [...]

Mon goût compulsif pour la proximité des femmes n’a, au fond, rien d’extraordinaire – la plupart des hommes hétérosexuels feraient comme moi s’ils le pouvaient. Les jeunes qui rêvent d’être rock stars n’ont pas pour souci exclusif le rehaussement du niveau de l’Art Pur, voyez ? – ils veulent pouvoir sauter autant de filles que possible, et que des meutes de groupies écumantes gravissent la scène en hurlant pour leur arracher leur t-shirt. C’est très légitime ! Alors pourquoi se vexent-ils quand je repousse leur proposition de correspondre avec moi, de me rencontrer, voire d’entreprendre l’Initiation sous ma direction personnelle ? Si les rôles étaient inversés, et que l’occasion leur était offerte de passer un moment avec une jolie fille, ils m’enverraient paître avec joie !

Un homme normalement sain ne préfère, c’est prouvé, la compagnie des hommes, que lorsqu’il se sent mal à l’aise en présence de femmes (AKA il a une petite bite), lorsqu’il est incapable de se trouver une femme, ou lorsqu’il a besoin de l’approbation d’autres hommes dans tout ce qu’il fait. Voir n’importe quel forum d’ « extrême-droite » pour confirmation de la chose.
Au plan magique, spirituel, il y aurait, évidemment, beaucoup à dire sur ma fascination pour les badass tomboys et les strip-teaseuses – Nous en avons déjà parlé 
– Sont-ce invariablement les genres de filles à côté de qui je me réveille le matin ? Non. J'aime aussi passionnément les mamans de substitution. En résumé, Lisa Ann était probablement mon Hélène. Je n'aurais jamais dû arrêter le basket.

- Sir, avec Lisa Ann, il semble qu'il ne soit jamais trop tard...

- D'autant que nous avons le même âge, ce qui la changerait – A ce sujet, on m'a demandé ce que je prévoyais pour fêter mon demi-siècle, en septembre 2022 – J'ai dit : sauvagement violer la ligne de changement de date – Je m'envolerai pour Sidney, puis irai de Sidney à Port Moresby, en Nouvelle-Guinée – Traversant la ligne de changement de date, je perdrai un jour – Mon anniversaire étant le 19 septembre, si je pars le 18, je passerai directement au 20 – Dussé-je vivre dix mille ans, je n'aurai jamais franchi le cap de la cinquantaine.

JS a exigé de m'accompagner et m'a demandé le dress code. J'ai dit : Wear something scarlet.

Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.

Belle journée à tous.

Love is the law, love under will.


- ☉︎ in 7° ♋︎ : ☽︎ in 8° ♓︎ : ♂︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.

Précédent commentaire sur ce péricope : Du Liber 418, Æthyr 16 (2020)

lundi 28 juin 2021

Nunc est bibendum

Amis chers, gens beaux et heureux,

Do what thou wilt shall be the whole of the Law.

C'est le premier lundi après les feux de Litha et ma fille bien-aimée vient à l'instant d'être admise dans le master de ses rêves : < There is success ! > comme il est écrit (AL 3, 69).
Nunc est bibendum, nunc pede libero pulsanda tellus !
Amis chers, la Lecture de ce jour est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 4, versets 20 à 23.

20. There the lovely One shall spread us His holy banquet. In the brown cakes of corn we shall taste the food of the world, and be strong.

Commentaire : Rendons un hommage public à Soror Hypatie qui, hier, à l'occasion du holy banquet des Agapes dominicales post-Messe Gnostique, s'est fendue d'un menu dont la seule lecture à plongé un professeur de reiki présent à notre table en catalepsie :

- Soupe froide de melon, avec lamelles de jambon de Bayonne séchées, accompagnée d'un Banyuls Grand cru L'Etoile 2012.

- Filets de Rouget marinés à la badiane avec fondue de fenouil, accompagnés d'un Bourboulenc de La Clape 2010.

- Côte de Bœuf grillée, sauce aux trois poivres et pommes noisettes, accompagnées d'un Pomerol, Château Petit Village 2012.

- Bavarois aux framboises, coulis de myrtilles, accompagnés d'un champagne "Amour de Deutz" rosé 2009.

(Saviez-vous que le Maître Therion, — qu'il soit béni et vénéré, — aimait beaucoup faire la cuisine ? Sir Aleister offrit à Frater Progradior un livre de recettes orné de cette dédicace : "Il voulut devenir poète et termina cuisinier...")

21. In the ruddy and awful cup of death we shall drink the blood of the world, and be drunken !

Commentaire : Frater S m'interrogeait ce matin sur le sens profond du fait que le punk et le disco soient, dans les late 70s, arrivés exactement au même moment — Je lui ai dit : "Thelema est un culte de la joie et il se trouve des rebuts de la woke culture pour affirmer, par peur d'être canceled, que "la positivité est toxique parce que validiste" tout en se prétendant thélémites !... Mais ça ne me tracasse pas : en '77, le plus célèbre album des Sex Pistols, Never mind the Bollocks, s'est vendu, en dépit d'un matraquage médiatique sans précédent, à trois cent mille exemplaires (ce qui ne couvre même pas le budget clopes d'un musicien normal), tandis que les Bee Gees, snobés par la critique pour leur "naïveté", pulvérisaient le record des Beatles en vendant trente millions d'exemplaires de Saturday Night Fever — Il n'y a qu'un groupe qui soit autant repris que les Bee Gees — et c'est ABBA !"

22. Ohe ! the song to Iao, the song to Iao !

Commentaire : Motsé chabbat, Frater Y devait chanter, au Temple, les 169 Cris d'Adoration, tirés du Liber 963, et, l'entendant s'entraîner, je lui ai dit que sa modulation n'allait pas du tout, faisait forcée, crispée, voire trémulante, etc.

"Je ne comprends pas, m'a t-il répondu, je n'ai pas fumé depuis une semaine pour éclaircir ma voix en prévision de cette cérémonie et j'ai fait attention à tout ce que je mangeais pour avoir une aura limpide !"

"Moi je comprends, ai-je dit. Sors fumer un joint et que quelqu'un commande immédiatement un panini bœuf-oignons tout dégoulinant de fromage."

Un demi joint et un panini plus tard, Frater Y revenait au Temple et élevait la plus belle incantation des 169 Cris que j'ai entendue de toute mon existence.

23. Come, let us sing to thee, Iacchus invisible, Iacchus triumphant, Iacchus indicible !

Commentaire : Saviez-vous que les différentes sections du Tao Te King sont notées par un caractère que l'on traduit généralement par "Chapitre" et qui signifie, en réalité, "Chant" ?

Je me souviens d'avoir écrit, en 2016 e.v., époque où je croyais possible, et souhaitable (!), de faire intégrer les fondamentaux aux Trogs :
Enchantements, incantations, cantiques... De même que la science moderne redécouvre que "l'univers est constitué de récits" (Rukeyser) et que "l'univers est constitué de musique" (Heisenberg) — et récit x musique = chanson —, le monde (dont l'aristocratie moyenne effective, — entre la haute-aristocratie du personnel politique et la petite noblesse du personnel médiatique, — est désormais presque exclusivement composée de chanteurs et de chanteuses) peut, chaque jour, éprouver la justesse du mot fameux de Rickie Lee Jones : "Le secret, c'est que les vocalistes ne sont pas des artistes — ce sont des prêtres, des magiciens...".

Si le chant de Beyoncé n’était jamais entré dans votre oreille, vous ne pourriez pas voir Obama sans pouffer. Le pouvoir du chant — donc le pouvoir du chanteur — donc la réalisation de ce que désire le chanteur — donc la réalisation de ce que désire la personne qui emploie le chanteur — vient de ce que le principe de chant (comme celui de prière, de poésie, etc. il s'agit d'une seule et même chose) procède de Tipheret, qui correspond au soleil dans le cosmos, au cœur dans l'homme — et à l'aristocratie dans la hiérarchie sociale.

Tipheret est le principe d’intersection, de point de contact entre le haut et le bas, c.à.d. d'harmonie entre les sphères supérieures et les sphères inférieures, c.à.d. d'inclusion de l'Infini dans la matière (d’où le fait que son nom signifie littéralement "Beauté") : de là l'omnipotence du chant.

Le chant — l'harmonie en parole — frappe l’ouïe, c.à.d. celui des cinq sens que régit le cinquième élément (l'Esprit) : l'action du chant est de nature spirituelle, donc toute-puissante à tous les plans : songez à tous ces gens qui, dans l'espoir de changer le monde, ont traversé en pure perte des souffrances inouïes, se battant comme des chiens et mourant dans les supplices, alors que, pour déclencher la plus gigantesque révolution culturelle de toute l'histoire connue, les Beatles n'ont eu qu'à chanter...

Du fait que l'univers est constitué de chants, que le chant de l'homme manifeste le Divin dans la matière, et agit spirituellement (i.e. à la source) sur ce qui perçoit sa vibration, il découle logiquement que celui qui maîtrise le chant maîtrise entièrement l'univers qui l'entoure et en fait ce qu'il veut — C'est pourquoi l'on prie par le chant : on utilise l'Infini inclus dans le fini pour inclure notre finitude dans l'Infini. [...]

DIEU est en tout ce qui existe — pour la bonne et simple raison qu'Il est l'existence de l'existence et que, donc, s'Il n’était pas dans une chose, cette chose n'existerait pas : cela, pour les Anciens, allait de soi : ils n'avaient pas le problème des européens christianisés, à qui leurs curés ont du mal à faire comprendre, après leur avoir inculqué que spirituel et temporel sont absolument distincts, qu'ils doivent dire un bénédicité avant de passer à table. L'action de grâce — la ré-inclusion, par la parole, du phénomène dans le Divin — i.e. la concentration de l'invocation en Tipheret — doit donc être permanente — continue.
D'où la parole du Maître Therion (qu'il soit béni et vénéré) : Invoke often! Inflame thyself with prayer!

Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.

Belle journée à tous.

Love is the law, love under will.
- ☉︎ in 6° ♋︎ : ☽︎ in 25° ♒︎ : ☽︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.

dimanche 27 juin 2021

Ice Cube in the Summertime

Amis chers, gens beaux et heureux,

Do what thou wilt shall be the whole of the Law.

C'est l'aube du premier dimanche après les feux de Litha, où nous faisons mémoire de Johann Valentin Andreæ, qui fut le génialissime satiriste hagiographe de Christian Rosenkreutz et fit du Cénacle de Tübingen la matrice des institutions Rose-Croix. Aucune société secrète n'a jamais eu un nom plus cool que Cénacle de Tübingen.

Amis chers, la Lecture de ce jour est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 4, versets 16 à 19.

16. Uranus chid Eros ; Marsyas chid Olympas ; I chid my beautiful lover with his sunray mane ; shall I not sing ?

Commentaire : Fra Alion voit dans ce verset différentes images de la relation entre le Maître du Temple et l'Adepte, ce qui nous sera l'occasion de pouffer ensemble d'un jocrisse de compétition qui m'écrivait tout récemment avoir pris part à une "réunion A∴A∴ [sic !] aux Etats-Unis" — sachant, bien entendu, que le principe de base de l'A∴A∴ est qu'un Initié ne connait officiellement dans l'Ordre que son Instructeur et ses propres élèves, et que tout ce qui pourrait, de près ou de loin, évoquer un tant soit peu l'idée de "réunion" y est strictement interdit — J'en déduis qu'il devait parler des Alcooliques Anonymes.

Sir Aleister, de son côté, note que ce verset lui rappelle systématiquement Herbert Charles Pollitt, son "lifetime regret" et je peux le comprendre, ayant également, il y a très longtemps, vécu un grand amour dont le fait qu'il ait dû finir est appelé par moi lifetime affliction, ou permanent harm, ou brain damage, mais moi c'était avec une fille et elle m'a laissé une montre Ice Cube Chopard — J'ai dit, je redis donc :
L’objet auquel je tiens le plus en ce monde est une montre Chopard Ice Cube offerte à moi par le plus bel amour de ma vie.
Je veille à l’entretien et à la sécurité de ce trésor avec un soin maniaque !!!
Faites-moi pourtant bien l’honneur de croire que, depuis la fin de mon idylle avec celle qui m’en fit cadeau, j’ai livré dans tous les dialectes !... J'en ai tronché des ordonnatrices de rallyes mondains emperlousées, issues des grandes familles de l’Ouest, sous l’œil libidineux de maris candaulistes !… J’en ai cravaché des pénitentes!... J’en ai décapsulé des lolitas, tringlé des nuiteuses cocaïnées, des escortes slaves et des tomboys de choc !… Mais rien n’est parvenu à diminuer l’intensité de la ferveur proprement religieuse que je voue à cette montre et à ce qu'elle représente…
Je crois que le but véritable d'un parcours terrestre est le mono no aware, et qu'à moins d'une nostalgie tenace, de type personnage-féminin-d'une-pièce-de-théâtre-Nô-qui-va-inlassablement-tous-les-matins-pendant-soixante-ans-guetter-à-la-fenêtre-pour-voir-si-l'ami-de-sa-jeunesse-revient, le mono no aware est inaccessible. 

Moralité : le but de l'existence est inaccessible aux low men, qui ne peuvent qu'obstruer stupidement le passage et c'est pourquoi il nous est bien formellement recommandé de leur marcher dessus (AL 2, 24) — Réjouissons-nous que le "vaccin" tue les gens assez sots pour se l'injecter et que, par conséquent, grâce au Corona Hoax, la vieille antienne anarchiste "Mort aux C**s" ne soit plus tout à fait du domaine de l'utopie.

17. Shall not mine incantations bring around me the wonderful company of the wood-gods, their bodies glistening with the ointment of moonlight and honey and myrrh ?

Commentaire : Fra Alion dit de ce verset < Feasts of the Sun >, ce qui m'amène à la question du jour : pourquoi autant de nuages gris ce matin ?!? On ne devrait confier les commandes du système HAARP qu'à des esthètes. Si je suis l'ultra-narcisse que vous dites, la vie est pour moi une scène ; et si la vie est pour moi une scène, j'exige un meilleur éclairage.

18. Worshipful are ye, O my lovers ; let us forward to the dimmest hollow !

Commentaire : Fra Alion dit : < dimmest hollow = Binah >. C'est donc la tension vers Binah qui nous fait monter : reportez-vous à notre commentaire sur le verset 16 et, après "personnage-féminin-d'une-pièce-de-théâtre-Nô-qui-va-inlassablement-tous-les-matins-pendant-soixante-ans-guetter-à-la-fenêtre-pour-voir-si-l'ami-de-sa-jeunesse-revient", ajoutez : ou Juif déplorant chaque nuit la destruction du Temple.

19. There we will feast upon mandrake and upon moly !

Commentaire : Festoyer de mandragore ? La moindre wiccan de village et n'importe quel médecin chinois (ou lecteur du Jin Ping Mei) n'ignorent pas qu'abuser des racines qui boostent la pulsion de vie fait mourir dans la souffrance... Ce qui m'étonne, c'est la fascination qu'exerce, sur l'Occidental post-christianisme, cette très lisible manifestation de Justesse divine.

J'écrivais, en 2017 e.v. :
Un ami cher – très officiellement cardiologue, bien qu’il soit plutôt carabin à vie – me disait l'autre jour, en illustration de la chose : "Lorsque j’ordonne une médicamentation lourde à un patient, la première chose qu’il fait en rentrant chez lui est d’en consulter la notice, mais uniquement afin de s’informer des "effets secondaires", par pur masochisme morbide… Il a hâte de savoir en quoi ce remède peut lui nuire…"

Bien sûr, le sens de sa remarque était : l’ordre des médecins ne s’est pas donné la peine de brûler toutes les sages-femmes pour n'être pas obéi aveuglément aujourd'hui – et, puisqu’un homme gravement malade s'empresse d'absorber tout ce qu’on lui prescrit, qu’importe qu’il en connaisse ou non les "effets secondaires" ?

Selon moi, le goût spécifiquement blanc des "effets secondaires" vient des années soixante, comme la pédale fuzz : c’est très précisément pour leurs effets secondaires que nos parents boomers pratiquaient le LSD et les vasodilatateurs antiparkinsoniens.

Cela dit, le système finit par se mordre la queue : les coupe-faim actuels ont, sur les corps des femmes qui en prennent pour maigrir, des effets secondaires si déformants et irréversibles qu’elles feraient aussi bien de rester grosses – de toute façon, aucun homme n’aura plus jamais envie de les voir nues.
Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.

Beau dimanche à tous.

Love is the law, love under will.


- ☉︎ in 5° ♋︎ : ☽︎ in 11° ♒︎ : ☉︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.

Précédent commentaire sur ce péricope : L'Origine du Monde (2020)

vendredi 25 juin 2021

Sir Shumule Day

Summer 117 par Naama

jeudi 24 juin 2021

Deeper, ever deeper

Amis chers, gens beaux et heureux,

Do what thou wilt shall be the whole of the Law.

C'est le troisième et dernier des Jours de Grande Lumière — l'anti-veille de Noël ! N'oubliez pas de sauter le Feu ce soir. En fait, la nuit la plus courte étant, de tradition immémoriale, la nuit consacrée aux Amants, n'oubliez de sauter personne.

Amis chers, la Lecture de ce jeudi est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 4, versets 4 à 7.

4. Deep into Thine eyes that are golden my soul leaps, like an archangel menacing the sun.

Commentaire : Il m'a toujours semblé que la glose la plus exhaustive sur ce verset était la vidéo Breathe de Télépopmusik.


Mais le verset renvoie curieusement aussi à la tradition shintō, l'épisode du face-à-face Amaterasu vs. Susanoo, soit l'équivalent nippon de Gina Carano en reine amazone mettant une effroyable trempe à un natif du Cancer pleurnichard et rouquin, et c'est hyper sexy.

Du reste, dans le cadre de notre série je suis heureux que vous m'ayez posé cette très bonne question, je vais vous parler de tout autre chose, je notais dans mon Registre, le 16 novembre 2020 e.v. :
Qui dois-je immoler, juste ciel ! pour être sûr de me réincarner au Japon ? — Quand on pense que le taux de suicide est, en ce moment, vertigineux là-bas ! Ingrats ! Si vous n'étiez pas morts, vous mériteriez d'être déportés en Europe de l'Ouest !

"Produit de l'intelligence ouest-européenne" est la critique la plus sévère que puisse faire un théologien Shinto et les gens l'ignorent généralement parce que le gens sont des produits de l'intelligence ouest-européenne.

Thélémites mis à part, les Blancs que j'ai connus et qui n'étaient pas de lamentables traînées de morve visqueuse se comptent sur les doigts de la main de Django Reinhardt ! Je ne supporte plus ces zombies ! Dès que le confinement est fini, je me rue à Seattle faire un cunnilingus à Robin DiAngelo !
NB : Soror J trouve que je commente "par association libre, au sens freudien orthodoxe" et que "c'est hot". En fait, je perçois l'Etude des Livres Saints comme si vous et moi étions tombés l'un sur l'autre dans quelque élégant débit de boisson et, toute vraie bonne conversation faisant instantanément une sortie de route et poursuivant sur sa lancée, 20 ou 30 verres plus tard, c'est genre "Quelle était ta question originelle, déjà, ami ?" et nous continuons à rouler — c'est la beauté de la conversation : bondir par la fenêtre du saloon sur le dos de Jolly Jumper sans savoir où il va t'éjecter !

5. My sword passes through and through Thee; crystalline moons ooze out of Thy beautiful body that is hidden behind the ovals of Thine eyes.

Commentaire : Fra Alion dit de ce verset : < Sword – Ruach – Tiphareth; Moons – ooze below > et j'en retiens l'aspect rencontre haletante du martial et de l'érotique.

A ce sujet, je notais, le mercredi 25 novembre 2020 e.v. :
Je suis de la Génération X, i.e. né durant l'Ere du Paradis Entrevu (1966-1976) : Make Love Not War est la première vibe dans laquelle j'ai baigné en ce monde.

Mais (j'ai déjà eu l'occasion de déplorer tout ça en cours) érotisme et arts martiaux se sont croisés en sens inverse depuis la révolution néocons.

Quand j'avais treize ans, le seul attrait du collège était que l'on pouvait, en chemin pour s'y rendre, faire un crochet par chez la buraliste pour acheter Playboy ou Penthouse, et un paquet de Rothmans Bleues.

Et ça ne posait aucun autre problème que le sourire narquois de la buraliste.

En revanche, pour ce qui était des sports de type confrontation-physique-face-à-face (même si, bien sûr, la lecture de Playboy à treize ans et le sourire narquois de la buraliste sont des confrontations physiques face à face hyper sportives), en fait de sports de combat, dis-je, même le full contact était interdit.

La boxe thai avait une réputation d'ultraviolence insoutenable, mais était considérée comme une spécialité typique, tel le Temple du Bouddha couché, le riz gluant à la mangue et la pédophilie gay.

Le maximum autorisé était la boxe française.

Inversement, de nos jours, Florence Foresti, censée être une comique "cool", pousse des hululements de chaisière outragée et se fend de tweets scandalisés si ses enfants aperçoivent, sur un kiosque, la couverture de Hot Video où une pornstar n'en montre pas plus que n'importe quelle nana à la plage – au lieu qu'en terme de sports violents, le MMA vient d'être intégralement légalisé en France.

Attention ! Je suis un très grand fan de MMA féminin, je suis le groupie de Gina Carano, je révère son asymétrie faciale et son nez signé Picasso – mais il est incontestable que le combattant MMA de base, à l'âge canonique de trente-huit ans, ne sait plus épeler son nom, ne se rappelle plus où il habite et n'a plus un seul centimètre du corps qui ne soit pas perclus de douleur.

Cela dit, tout ceci est également vrai de la pornstar...
6. Deeper, ever deeper. I fall, even as the whole Universe falls down the abyss of Years.

Commentaire : Deeper, ever deeper, c'est un mantra d'hypno domme ou une chanson de Madonna dans les 90s. Il n'y a jamais eu qu'un seul commentaire herméneutique au sujet de l'Univers, et c'est Adam et Eve qui l'ont fait. Tout le reste est variation sur le même thème.

7. For Eternity calls; the Overworld calls; the world of the Word is awaiting us.

Commentaire : Fra Alion dit de ce verset : < The Universe is as it is – “it exists” in the Abyss of Years > et ce n'est pas seulement un brusque accès de fatalisme, curieusement extrême-oriental pour un Serbe.

Enfin ! J'avais dit "pas de métaphysique avant l'happy hour" et j'ai menti : la perpétuité de l'Univers provient de ce qu'en vertu de Maât (♎︎ = ♄︎ x ♀︎), Saturne est ajusté par Venus et Venus ajustée par Saturne, comme il est écrit < I am Life, and the giver of Life, yet therefore is the knowledge of me the knowledge of death > (AL 2, 6). D'où le lourd poncif "Eros-Thanatos".

Tout membre d'un personnel hospitalier vous confirmera que la fréquentation quotidienne de la mort, < the knowledge of death >, rend furieusement lubrique, toute pornstar vous confirmera que la fréquentation quotidienne du < giver of Life > rend furieusement triste. Le médecin culbuteur d'infirmières est un cliché, comme, hélas ! la pornstar suicidaire — bien que fabuleuse, pourtant, dans les rôles d'infirmière culbutée.

Belle occasion de citer le vieil ermite de Prague : "Ce qui est, est, et les choses ne changeront que pour empirer" – Aussi, avant que l'année entreprenne, ce soir, son post-orgasmic chill, n'oubliez pas de redire avec flamme mon Incantation Souveraine :
Je me fiche du sort des Maliens et des élections guatémaltèques. Le génocide des Tutsis du Rwanda m'indiffère totalement. La famine au Malawi, la répression au Kirghizistan, tout ça, je m'en tamponne. Autant, d'ailleurs, que de la junte militaire birmane, des prisonniers politiques dzoungars et du cours de l'orge en Pologne. Je ne veux plus étouffer dans les anneaux visqueux de cette CULPABILITÉ GLOBALE. Ne m'intéresse que ce qui se passe dans ma communauté ! que dis-je ? dans ma famille ! que dis-je ? dans ma maison ! que dis-je ? dans ma chambre ! que dis-je ? dans mon lit ! NOUS NE VOULONS PAS D'ACHATS DURABLES ECO-RESPONSABLES ! NOUS VOULONS DE PLUS BELLES CHOSES DANS LES MAGASINS !
Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.

Belle Veillée de Litha à tous et à toutes.

Love is the law, love under will.


- ☉︎ in 3° ♋︎ : ☽︎ in 27° ♐︎ : ♃︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.

Précédent commentaire sur ce péricope : Crystalline Moons (2020)

mercredi 23 juin 2021

Tout est accompli

Amis chers, gens beaux et heureux,

Do what thou wilt shall be the whole of the Law.

C'est le deuxième des Jours de Grande Lumière et on ne peut pas être plus intensément Soleil en Cancer que ça — à moins, bien sûr, d'être Da'at Darling, si Cancer qu'elle vient de sortir un podcast où elle déclare que "la positivité est toxique (sic) parce que validiste" — et "toxique (sic)" est, objectivement, une formule hyper cool.

Avouez tout de même... "la positivité est toxique parce que validiste"... De la part de quelqu'un dont la bio twitter comporte la mention "Thélémite" !... Da'at Darling est plus native du Cancer qu'une métastase cérébrale. 

Amis chers, la Lecture de ce mercredi est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 3, verset 60, et chapitre 4, versets 1 à 3.

60. Then shall all this which is written be accomplished: yea, it shall be accomplished.

Commentaire : Nul peuple encore plus ou moins vaguement raccordé au chamanisme primordial n'ignore que les prophéties de bonheur s'accomplissent toujours ponctuellement, au lieu que les prophéties de malheur sont absolument inéluctables mais indéfiniment repoussables.

Les Heathen, eux, ont un curieux rapport aux Oracles (les horoscopes de bonniches sont des Oracles), de type : "J'ai 7-2 dépareillés, c'est lourd, il va falloir que je relance, ou : j'ai un carré d'as, c'est cool, je peux passer."

Quels gens bizarres... Si j'annonce à un trog : "La semaine prochaine, tout ce que vous touchez se change en or, les femmes serrent très fort les genoux sur votre passage, les nains acceptent que vous les lanciez, etc.", il me répond : "Très bien, je vais pantoufler à la maison toute la semaine"...

Amis trogs, ne débranchez pas votre aïeul en état de mort encéphalique : il a atteint à votre idéal de bonheur terrestre !

✶✶✶

1. I am like a maiden bathing in a clear pool of fresh water.

Commentaire
Ça me rappelle : je m’alcoolisais, un soir de 1er août, en compagnie du célèbre Fix. Nous avions passé le début de la nuit à broyer du homard dans un restaurant mode, puis migré sous les chapiteaux corinthiens et ioniques d’un palace décadent, où, installés au bar, absolument désert, nous nous enivrions de cocktails anciens : Double D, Moscow Mule et Baltimore Eggnogg.

Abrutis par l’action combinée de l’alcool et du sucre, nous nous étions mis à parler fées, et je soutenais mordicus que ce verset du Liber VII concernait Mélusine.

Mélusine ! La femme serpente, ancêtre des Lusignan !

Bien l'occasion de rappeler que, pour moi, Palestine est la fée séquestrée avec un lutin dans le mont Canigou et que je me suis mépris pendant des années sur le sens de vos pancartes "Free Palestine".

2. O my God! I see Thee dark and desirable, rising through the water as a golden smoke.

Commentaire : Fra Orpheus dit de ce verset : < The smoke is the veil of Paroketh. >

On sait que le voile de Paroketh, 
 פרכת, guématrie 700, qui est celle de Seth, l'attachement à la matière, l'oryctérope attitude, la troglodyte way of life— représente, météorologiquement, le mystère des "cruels nuages" et, physiologiquement, le prépuce, c'est-à-dire, d'une façon générale, ce dont il faut être décalotté pour pénétrer le Saint des Saints et avoir accès à la source de vie.

700 peut se lire : "vie incarnée x matérialité de chez matérialité", et quiconque demande "Pourquoi avoir créé un repli de peau dont on sait seulement qu'il faut l'enlever ?" demande par conséquent  "Pourquoi avoir créé le monde ?"

Le monde ! < 
the little world my sister >, dit Nuit (AL 1, 53) : le monde est donc femme, et je lisais récemment un incel chrétien de petite taille qui réclamait "l'interdiction des femmes" hors-cloître et sans burka  Le "droitard"  small dick energy qui fait banquette en critiquant la musique et la déco uniquement parce qu'il ne sait pas danser, finit toujours par exiger la proscription des danseurs — mais nous avons de long temps traité ce problème du rapport du low man au Monde, c'est-à-dire à la femme :

Il faudrait vraiment se décider à tordre le cou à cet « idéal » troglodyte de la femme « chaste » – inventé par et pour des sous-humains ou des non-humains, qui débandent en présence d’une femme forte, et donc brûlent, torturent, terrorisent les femmes jusqu’à ce qu’elles renoncent à ce qui fait d’elles des femmes, principalement à toute exigence de satisfaction sexuelle.

« Vouloir être comblée », à tous les sens du terme, est, évidemment, la définition essentielle de la nature féminine : Natura abhorret a vacuo. Lorsqu’un « homme » est incapable de répondre à cette attente, il élucubre un « idéal » de « femme chaste » (du latin castus, littéralement : « que l’on garde fermé »), donc de femme « close », donc d’anti-femme. Puis il met au point des systèmes absurdes qui contraignent son épouse à se conformer à cet « idéal », ou du moins à l’accepter comme standard de conduite « irréprochable ».

C'est donc par tikoun, en antidote, qu'il nous est prescrit : < let all chaste women be utterly despised among you ! > (AL 3, 55)

Les crapulous creeds (AL 3, 54) sont d'exécrables perversions, qui autorisent des « hommes » à qui, en temps normal, une jolie femme ne donnerait même pas l’heure – des hommes pour qui, s’ils osaient l’aborder dans un bar, elle ne gaspillerait pas l’oxygène nécessaire à les envoyer paître (et s’enculer entre eux, puisqu'ils manquent de tendresse) – d'exécrables perversions, dis-je, qui permettent à ces hommes-là de transformer cette femme-là en esclave et en vide-burnes, auquel ils interdisent, par-dessus le marché, de laisser échapper la moindre parole qui ne soit pas ultra-valorisante pour leur égo, c’est-à-dire qui ne soit pas un mensonge – et ces mêmes « hommes » se plaignent ensuite qu'ils vivent avec une bonniche frigide et hypocrite !!!

Les Charybde et Scylla de la condition féminine sont la Bonniche (la « femme modeste », cf. AL 2, 52) et la Roulure (la « femme déchue », cf. AL 3, 43) : or, les crapulous creeds exigent ces écueils : l’épouse doit être « modeste » et la maîtresse « roulure » – jamais une femme n'a le droit de se conduire en femme.

Bien sûr, il n’existe pas de chrétien sincère. La morale chrétienne est un deal tacite entre curie homosexuelle et beta males. Le propre des petites bites est de condamner l’érotisme – le propre de l’incapable est de condamner l’accès de femmes à un poste de pouvoir direct – le propre du pauvre est de stigmatiser la vénalité féminine. Les chrétiens (et Alain Soral) n’ignorent pas comment se recrutent les losers.

3. Thou art altogether golden, the hair and the eyebrows and the brilliant face; even into the finger-tips and toe-tips Thou art one rosy dream of gold.

Commentaire : Fra Orpheus dit de rosy gold que c'est une image de Tipheret.

Tipheret est le principe d'Harmonie et, à une jeune femme qui me demandait récemment "comment harmoniser le yin et le yang dans son couple", j'ai répondu : "Aie un mari chochotte et un amant fougueux."

Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.

Belle journée à tous.

Love is the law, love under will.


- ☉︎ in 2° ♋︎ : ☽︎ in 12° ♐︎ : ☿︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.

Précédent commentaire sur ce péricope : Golden Smoke (2020)

mardi 22 juin 2021

Superclimax

Amis chers, gens beaux et heureux,

Do what thou wilt shall be the whole of the Law.

C'est le premier des Jours de Grande Lumière, le pic orgasmique de l'année, le superclimax qui a pour objet, dit le poète, de barbouiller le quotidien de foutre solaire.

Amis chers, la Lecture de ce mardi est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 3, versets 56 à 59.

56. Thou shalt crush me in the wine-press of Thy love. My blood shall stain Thy fiery feet with litanies of Love in Anguish.

Commentaire : Rappel des notions de base : l'homme est essentiellement masochiste (= mû par le seul désir d'expirer son énergie vitale sous la contrainte de la mesure féminine), la femme essentiellement sadique (= mue par le seul désir de mettre rituellement l'homme à mort afin que ça la comble).

Le taux de testostérone d'un homme s'évalue donc à l'intensité de désir d'être crushed et de répandre sa vie aux pieds de son aimée en émettant des chants d'amoureux transi que trahissent ses lapsus et son body language — d'où < la voie du Samouraï, c'est la mort >, le Joï des Cours d'amour occitanes et le blues en général.

La même impulsion primordiale a inspiré le rite du Seppuku et la Venus à la Fourrure — c'est comme le Solstice de Juin, n'importe quel voluptueux répandage de semence mâle ou Joe Robinette Biden discréditant à tout jamais l'empire US en se gaufrant dans les escaliers: paradoxalement constructif.

57. There shall be a new flower in the fields, a new vintage in the vineyards.

Commentaire : En tant que fils de la vigne aquitaine — Burdigala man — je ne vois pas en quoi un vin nouveau serait spécialement une bonne surprise à table, mais je me réjouis de ce que les occurrences du mot < wine > dans les Livres Saints soient au nombre de 33, qui est le code de la Gironde.

58. The bees shall gather a new honey; the poets shall sing a new song.

Commentaire : C'est probablement parce que j'écoutais Ofra Haza ce matin, mais il y a quelque chose d'étrangement Toraïque, pour ne pas dire d'Israélien dans les thèmes de < miel nouveau > et de < chant nouveau > — Le fameux verset < Chantez à l’Eternel un chant nouveau > est tiré du psaume 96 qui, selon la tradition juive, a le pouvoir occulte de réjouir la famille, ce qui nous renvoie à la cool concomitance du Solstice de juin, — instant le plus maximalement mâle de l'année, — et de la Fête des Pères.

On m'a demandé, la semaine dernière, comment thélémiquement célébrer Fathers' Day — J'ai dit :

- Il semble qu'il y ait, de manière générale, une confusion au sujet de ce que les pères attendent de cette Fête — L'idée convenue semble être que nous souhaitons dîner dans un grand restaurant, participer à d'obligatoires activités récréatives avec notre progéniture, et que ce jour doit être méticuleusement planifié et exécuté selon un programme rigide : il devient une corvée, une épreuve, le reflet de la fête des mères.

Ce que les pères appellent réellement de leurs vœux, c'est quelque chose de primitif, de païen, d'atavique — Errer au hasard de la journée, un cocktail de puissantes liqueurs à la main, sans autre projet que humer l'odeur de gros morceaux de chair animale en train de griller sur les feux de l'office — Nous voulons que nos enfants soient à portée de vue, comme preuve de notre irréprochable virilité, mais nous ne voulons pas avoir à nous occuper d'eux (sauf à émettre certains grognements sourds sporadiques pour les empêcher d'usurper le pouvoir) — De sorte qu'en fin de journée, au terme de longs festins de viandes et d'alcools, nous puissions nous dire, avec confiance : "Le clan est fort : nous prendrons de nombreuses têtes cette année."

59. I shall gain the Pain of the Goat for my prize; and the God that sitteth upon the shoulders of Time shall drowse.

Commentaire : C'est un principe magique fondamental, essentiel à la prise de masse en muscu et à la pornstar spécialisée dans les scènes de sodomie: conquérir la douleur = conquérir le pouvoir temporel.

A propos de pouvoir temporel, laissez-moi redire, pour répondre en vrac à toute une foultitude de questions récentes : nous n'avons besoin ni de vaxx, ni de fermeté envers la Chine et son rapport aux pangolins : nous avons besoin de la chute du régime.

- Tes visées sont donc révolutionnaires ?

- Non… pas révolutionnaires à proprement parler… S’il fallait que je résumasse ici ce en quoi consistent précisément mes ambitions personnelles, le destin auquel j’aspire, l’idéal de réalisation et d’accomplissement vers lequel tend mon être, et pour lequel je me sens prêt à « m’engager », quoi qu’il en coûte, « dans une démarche sacrificielle », je dirais : une Häagen Dazs amaretto almond crunch.

- Tu as déjà écrit ça en 2011, je te signale...

- Eh oui, mais quand c'est bon, j'aime recommencer.

Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.

Belle journée à tous.

Love is the law, love under will.


- ☉︎ in 1° ♋︎ : ☽︎ in 27° ♏︎ : ♂︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.

Précédent commentaire sur ce péricope : Bienvenue dans les Jours de Grande Lumière (2020)

jeudi 17 juin 2021

Young Doric God

Amis chers, gens beaux et heureux,

Do what thou wilt shall be the whole of the Law.

C'est le quarante-huitième des Beaux Jours, où nous faisons mémoire de Jack Parsons, thelemite royalty qui, dans l'Œuvre au Blanc (i.e. au plan spirituel), fut appelé par Sir Aleister "le meilleur d'entre nous", dans l'Œuvre au Rouge (i.e. au plan psycho-affectif), épousa Marjorie Cameron et, dans l'Œuvre au Noir (i.e. au plan pratique), inventa la navette spatiale.

Jack Parsons ne s'était, de toute évidence, incarné que pour mettre le reste de l'humanité minable.

Amis chers, la Lecture de ce jeudi est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 3, versets 40 à 43.

40. There is a strange pale God, a god of pain and deadly wickedness.

Commentaire : De ce verset, Fra Orpheus dit simplement < Choronzon >, ce qui me rappelle qu'un mien lecteur, après avoir lu le billet intitulé Canicule, m'a demandé : "Est-ce à dire que l'enfer est un hentai de tentacle porn ?"

Ami, non : ce serait trop beau ! La vérité sur Choronzon fut publiée par moi en août 2019 e.v. :

Me and Choronzon Blues

Abondance de courrier ce matin, dont surnage l'inopinée pointue question suivante:

« De GH le Zéniste à Sir Shumule le Thélémite, salut !
Bonheur et succès galants !
Je ne parviens pas, Maître, à comprendre ce que représente exactement le démon CHORONZON, décrit par John Dee et Sir Edward Kelly, qui est devenu le « diable » dans la philosophie de Thelema.
Puis-je solliciter vos Hautes Lumières sur ce point ?
Neuf Prosternations. »

Ma foi, ami Zen,

Do what thou wilt shall be the whole of the Law.

Vous êtes un séduisant mystère promis à une destinée sublime qui, comme chacun d’entre nous, avez un côté sombre. Une partie de votre psyché gronde, salive et montre les dents : elle est inconsciente – elle est irrationnelle – elle se nourrit exclusivement de mauvaise volonté, de passions perverses et de peurs instinctives.

C’est le morceau de maladie-du-monde qui se trouve être échu à votre assiette.

Choronzon est le nom que l’on donne à ce margouillis de désirs refoulés, de meurtrissures d'égo, de self-delusions niaises, que vous ignorez délibérément car il est peu flatteur et diffère, en des proportions douloureuses, de ce que vous aimeriez vous faire croire que vous êtes.

Carl Gustav Jung l’appelle "l'Ombre" ; les Chrétiens l’appellent le Malin ; les Juifs l’appellent le Yetzer Hara ; les Hindous l'appellent Apasmārapuruṣa ; les Bouddhiste l’appellent Māra ; nos Ancêtres l’appelaient Loki : vous pouvez l’appeler votre evil twin, votre Mephisto, votre natif-du-Cancer interne.

Du coup, Choronzon est également ce que les Alchimistes transforment en or : non quelque chose d’intrinsèquement « mal », mais un subalterne qui, – comme tous les stalkers, toutes les imbitables à daddy issues et tous les larbins congédiés, – devient, parce qu’on l’ignore, hystérique en surcompensation : ainsi l’homme tourne-t-il compulsivement, caricaturalement bas-de-gamme pour cesser de souffrir.

Si vous ne piétinez pas votre Iznogoud, votre Iznogoud vous mordra au mollet. Il sabotera systématiquement vos efforts, à moins que vous ne vous efforciez d’agressivement l’identifier et d’alchimiquement le transmuter : < Refuse none but thou shalt know & destroy the traitors > (AL 3, 42) : n’est-il pas très connu que se plaindre des manquements d’autrui est trahir ses propres défaillances ?... Si vous déshéritez un aspect de votre personnage, il se matérialisera brusquement, au coin du bois, sous forme (peu ou prou) humaine, lorsque vous l’attendrez le moins...

Comme l’Anneau de Sauron, il veut qu’on le trouve : d’où les actes manqués, les pseudo-accidents, les inhibitions bêtes – les kink libidineux dangereusement barrés,


Me and Choronzon were walking side by side,
I’m gonna beat my woman until I get satisfied.

… les « aventures terribles » dont Nietzsche nous dit qu’elles finissent par nous faire soupçonner que celui à qui elles arrivent est lui-même quelqu’un de terrible.

Voyez, ami Zen ! Le nain qui refuse de s’admettre nain sera jeté (ou lancé, plutôt, puisqu’il s’agit d’un nain) sur un terrain de basket-ball devant des millions de téléspectateurs : quiconque nie ce qu’il n’aime pas en lui-même aura le nez plongé dedans.

Soyez donc Alchimiste plutôt que Youtubeur ! Visita Interiora Terrae Rectificando Invenies Occultum Lapidem : « Jusqu’à ce que vous ayez rendu le Subconscient conscient, il dirigera votre vie et vous l’appellerez le destin », dit encore Carl Jung – ou, selon ma formule inlassable : ce que tu fuis est ton salut.

41. My own soul bites into itself, like a scorpion ringed with fire.

Commentaire : De ce verset, Fra Orpheus dit : < Choronzon in manifestation as the vampire >, ce qui est plutôt réconfortant pour quelqu'un comme moi, dont toute la libido a été, à l'adolescence, déterminée par le personnage de Regine Dandridge dans Fright Night II : au pire, je tombe dans les bras de Julie Carmen.

Cela dit, Choronzon est l'horizontalité, la matérialité, c'est-à-dire la féminité, intégrale et le fait que la sexitude de Julie Carmen en Regine Dandridge n'ait jamais été égalée, ni même approchée, par qui que ce soit, nous ramène au principe fondamental : 100% des problèmes en ce monde viennent de l'insatisfaction sexuelle des femmes.

Je consignais dans mon Registre Magique, le 26 novembre 2020 e.v. (et vous n'avez aucune excuse pour l'ignorer, puisque mon Registre était, alors, tenu en ligne) :

Sicariōn m'a posé un tas de questions pointues [...] et nous en sommes venus à parler des implications politiques de la liberté sexuelle absolue proclamée par la Loi (AL 1, 51).

Principe de base : la peur qu'entraîne généralement ce Verset procède, — comme la misogynie, le viol, mais aussi la pédocriminalité, etc. — de la peur du désir féminin — Politiquement : de ce que ce désir comporte d'"écarlate", au sens thélémite du terme, c'est-à-dire de léonin (XI) et d'intégralement amoral.

Ainsi, le brûlant sexdrive de la belle princesse Haya de Jordanie a impitoyablement détruit deux mariages et fait de l'émir gouverneur de Dubaï la risée du monde — Puis elle est partie en subtilisant 35 millions d'euros à son malheureux barbon d'époux bafoué, avant d'obtenir, en mentant comme une diablesse, le divorce qui va lui rapporter 5 milliards d'euros, et elle vit aujourd'hui très heureuse à Londres, entourée de sculpturaux bodyguards, dans une demeure estimée à 85 millions de livres.

A t-elle enfreint la Loi de Thélème ? Non. Au contraire : < Then will I lift her to pinnacles of power > (AL 3, 43) : toutes les tentatives de représailles à son encontre ont grotesquement échoué... Mais on comprend que les Musulmans aient, pendant des siècles, jugé prudent de bâcher, cloîtrer, terroriser la femme arabe...

Autre exemple : le top model Stephanie Seymour vit en inceste réglé avec son fils et se moque éperdument que cela se sache (au point même de ne pas s'opposer à la diffusion des fameuses images de leurs vacances à St-Barth et de faire directement allusion à la chose dans un photoshoot pour Harper's Bazaar). 

Enfreint-elle la Loi de Thélème ? Non. Mais ces "amours singulières" (aurait dit Peyrefitte) posent un problème "sociétal" évident...

La sexualité féminine est politiquement ingérable : tous les législateurs se sont, si j'ose dire, cassé les dents dessus. Particulièrement les législateurs religieux... Il est vrai que lorsque un authentique avatar de la Juliette de Sade parvient à sublimer au plan spirituel ses impulsions érotiques, ça donne Marie l'Egyptienne, qui entrait en lévitation dès qu'elle disait un psaume... Hail Babalon ! Thérèse d'Avila se faisait appliquer un fer rouge pour se punir de ses élans charnels et déclarait trouver cela "rafraîchissant", comparé à ses fureurs utérines !...

La Loi dit que c'est à présent < la manifestation de Nuit > (AL 1, 1) : pour la première fois, le monde s'apprête à aimer la femme pour ce qu'elle est et non plus pour son aptitude à dissimuler ce qu'elle est. Les gens ont raison d'avoir peur. [...]

Toutes ces histoires de patriarcat sont absolument ridicules. N'importe quelle jolie fille — même moyennement jolie — sait depuis la classe de 5ème qu'elle dirige le monde. Mon drame est d'avoir toujours été plus attiré par les joueuses de roller derby que par les bècebèges à plan de carrière. Thanksgiving me rappelle la nuit où, au Crillon, j'ai sauté, après le Bal, dans sa robe Ungaro, une débutante sublime, fille de diplomate, et ne suis parvenu à maintenir ma motivation qu'en pensant à Joan Jett en train de changer un pneu.

Du reste, on m'écrit que je pratique l'exégèse comme on commente un match de roller derby et je ne sais pas si c'est un hate mail.

J'ai tellement de haters !

J'estime que 50% des internautes qui écoutent les cours en ligne le font par animosité fascinée

C'est comme pour le catcheur heel et les bons Walt Disney où le méchant est cool. Nulle part ailleurs vous ne trouverez quelqu'un avec ma taille, mon nez, mon crâne d'extra-terrestre et mes doigts de mandarin chinois ! 

C'est le piquant, le kink, la raison pour laquelle on boit du Red Bull. 

On ne boit pas de Red Bull pour la taurine ou la saveur de soda sucré mélangé à la vodka Grey Goose. On le boit pour l'ingrédient imprononçable, — innommable, devrais-je dire, tant il est chimique, — l'excipient qui a le nom d'un groupe de k-pop qui aurait un nom de code-barre — le truc abominablement synthétique dont on ignore ce qu'il fait là et dont on apprend par la suite que l'industrie s'en sert également pour fabriquer des jantes et des seins de pornstars. Je ne sais pas ce que c'est, mais j'en veux dans mon vaccin ! 

42. That pallid God with face averted, that God of subtlety and laughter, that young Doric God, him will I serve.

Commentaire : Amen !!!

43. For the end thereof is torment unspeakable.

Commentaire: Oh ! ce principe de "la Victoire appartient au dur-au-mal", comme il  est écrit < 
Thou shalt have danger & trouble : Ra-Hoor-Khu is with thee > (AL 3, 11) et < to me come ye through tribulation of ordeal, which is bliss > (AL 3, 62).

Ça me rappelle une conversation avec un très bon ami ricain, consignée dans mon Registre le 27 novembre 2020 e.v.

[J]e disais hier à un ami texan (très nouveau riche, plus-à-droite-tu-tombes, met des glaçons dans le Château Pétrus — texan, en somme) :

- Eva Angelina est la preuve vivante que vous devez importer davantage de Mexicains !

En effet, quel est l'ennemi ? — La Chine.

En quoi réside la force des Chinois ? — Work Ethic. Et ils ne peuvent même pas prononcer Work Ethic.

Les Chinois sont d'accord pour bosser dix-huit heures de rang sous le cagnard, payés en cacahuètes et je ne sais même pas s'ils ont des cacahuètes en Chine, mais enfin payés en le truc que les Chinois grignotent à l'apéro.

Ils ne sont heureux qu'à mille dans une cave, triment comme des forçats du XIXème siècle, et s'ils ont tous la même coupe de cheveux, ce n'est pas grave, c'est même un plus.

Vos Blancs sont tous de la graine de boomer et bossent pour le week-end...

Qui vous reste t-il pour espérer faire pièce à Xi Jinping ? — Les Latinos, qui sont conservateurs jusqu'au pétainisme et l'ont prouvé en votant Trump à 100 %.

Les Latinos n'ont besoin que d'une image pieuse de la Vierge Marie, d'un contremaître ayant pris option espagnol-techno en 4ème, et que leur fille ne ramène pas un Noir.

Ils sont aussi stakhanovistes et dépourvus de courage syndical que les Chinois, mais leurs femmes ont un butt. (Les femmes hispaniques me font compulsivement grimper aux rideaux et ça désole mon décorateur, mais je ne recommande pas les amantes chinoises: deux heures d'efforts pour entrer parce que c'est hyper étroit et, parce que c'est hyper étroit, on conclut aussitôt entré ! Là aussi : stakhanovisme et salaire frustrant ! Mais Eva Angelina peut en dire autant de son propre secteur professionnel... CQFD.) 

Et cela vaut pour toutes les rigueurs de l'Ascèse, ainsi que je le consignais dans le même Registre, le 8 décembre 2020 e.v. :

Pris un pharaonique petit-déj pendant que, par association d'idée, S m'interrogeait sur le jeûne.

Aussi bien, j'ai regretté de ne pouvoir lui donner d'astuce pour tenir le jeûne, parce que celui-ci ne m'a jamais posé aucune espèce de problème — N'est-ce pas un grand Enseignement qu'il soit impossible de guider autrui dans les domaines où l'on n'a pas souffert ?

Evidemment, s'il m'était prescrit de m'abstenir pendant vingt-quatre heures de m'imaginer en train de faire profondément, intensément l'amour à Sofia Vergara, ce serait différent — mais l'ascèse des magiciens (alterner périodes d'excès rabelaisiens et périodes d'abstinence monastique), — donc, a fortiori, une seule journée de jeûne, — m'a toujours, grâce à DIEU, été très facile.

Je ne puis donc être d'aucun secours, sinon répéter l'Immortelle Injonction de Jimmy Page (puisse t-il vivre de longs jours heureux, Amen), Haut Précepte qui fut mon vade-mecum dans cette vallée de larmes de joie :

Shit or bust. You do it. No nerves. You just do it.

Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.

Belle journée à tous.

Love is the law, love under will.


- ☉︎ in 26° ♊︎ : ☽︎ in 16° ♍︎ : ♃︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.

Précédent commentaire sur ce péricope : Joy of divine rapture all day (Pleasure of uttermost delight all night) (2020)

mercredi 16 juin 2021

X

Amis chers, gens beaux et heureux,

Do what thou wilt shall be the whole of the Law.

C'est le quarante-septième des Beaux Jours et le Solstice fonce droit sur nous, ce qui veut dire que la Mi-nuit véritable (six heures après la sortie des étoiles) et l'Aube sont désormais presque concomitantes : l'heure rien-n'est-impossible, le Noël de la journée, et celle, navrante, des exécutions capitales sont actuellement l'une dans l'autre, comme un satyre enjoué viole une contractuelle !

Amis chers, la Lecture de ce mercredi est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 3, versets 36 à 39.

36. I smite. The whole world is broken up into a mighty wind, and a voice cries aloud in a tongue that men cannot speak.

Commentaire : Le geste infime du Magicien dans son Temple a l'incidence d'un tsunami sur le profane. Ce qui explique la propension qu'ont les Japonais, 
— peuple dont la pensée magique est la plus intacte au monde, — à aimer mieux guetter l'imminence d'un tsunami dans les signes d'anxiété de leurs chats bobtail ou de leur chiens shibu que dans les bulletins météos, et leurs weather girls sont pourtant bandantes.

37. I know that awful sound of primal joy; let us follow on the wings of the gale even unto the holy house of Hathor; let us offer the five jewels of the cow upon her altar !

Commentaire : De ce verset, le Maitre Therion (qu'il soit béni et vénéré) dit simplement : < Netzach. >

Netzach ! Dont je résume le Mystère par le Shumulisme < Même le corps de Kim Kardashian recèle un squelette > !... Dont Helmut Newton résume le Mystère par son X-Ray with Chain !...

Netzach ! La vie sensuelle, la vie incarnée (litt : dans la viande), dont le message est : Au bout du compte, on peut voir à peu près n'importe quel phénomène comme prodigieusement lumineux ou infiniment glauque. C'est affaire de lecture. Ou de talent dans l'art du spin. La vie incarnée est un genre de miracle trash, à tous les niveaux : c'est uniquement la perspective que vous avez sur les évènements qui en fait de bons ou de mauvais souvenirs. Ô Mystère de la borgnitude de Ra-hoor-khuit ! 

Netzach ! La sphère vénusienne alimentée par le Scorpion! Allez comprendre!... Moi c'est bien simple, maintenant, dès qu'un natif du Scorpion me demande conseil, sur quelque sujet que ce soit, je lui dis : 

- Le signe du Scorpion, antithèse-complément de celui du Taureau, voit, on le sait, l'existence comme un suicide permanent, au lieu que le Taureau la voit comme un festin. Mon conseil : quitte à donner dans l’autolyse, essaie de t'imaginer en père pélican qui — selon le symbolisme classique [et notre billet d'hier] — nourrit sa famille de ses propres entrailles, et non comme le cassos réprouvé qui s'octroie un drame passionnel romantique avec sa vieille pétoire rouillée dans la cuisine de son deux-pièces à Juvisy-sur-Orge (parce que, dans la mezzanine, il y a de la moquette) — Compris ? Spiritualise, festinise un peu ton arachnitude morbide !

Netzach ! Qui est à Binah ce que l'escort qui vous a laissé l'impression la plus durable est à madame votre mère ! Toute méditation sur Netzach me ramène toujours aux évènements par moi naguère relatés ainsi : 

X ou la Botte Secrète

J’ai récemment déclaré, dans un des cours, pourtant austères, diffusés en audio sur ce blog, que les trois types de femmes qui me plaisent le plus sont « les butch, les escorts, et les strip-teaseuses ».

Certain lecteur (auditeur en l’occurrence) old gangsta a trouvé ça limite et, dans son courrier de protestation, a eu au moins une phrase sublime : 
Où est le Shumule gynolâtre que nous chérissons à juste titre, si tu n’aimes plus que les garçons manqués et/ou les femmes que tu paies pour qu’elles s’occupent de ton plaisir sans que tu aies à t’occuper du leur ? 
Ami, laisse-moi te narrer quand et comment j’ai développé ces fixations…

Sache, tout d’abord, que, de dix-huit à vingt-six ans, j’ai donné dans les excès libertins les plus échevelés. C’était une bonne période pour ça – le cœur de la Génération X, la seule qui, depuis la guerre, ait joui des deux libertés qui importent : la liberté d’expression et celle des mœurs – un break récréatif, en somme, avec suspension provisoire des notions de thoughtcrime et sexcrime, entre la Boomer Generation de ‘68, hantée par l’ombre de Tante Yvonne et ultra-moralisatrice sous des dehors hippies olé-olé (c’est pourquoi, du reste, elle fut la génération Cohn-Bendit : la pédophilie est tout-à-fait boomer, i.e. kinky tout en restant Jésuite), et la Boring Generation des milléniaux cognitivement modifiés par le Politiquement Correct, d’où sont sortis #MeToo, #TimesUp et l’actuelle Post-Weinstein era.

En fait, c’est le lendemain même de mon dix-huitième anniversaire que, las de l’inexpérience (pleine de bonne volonté mais un poil répétitive à force) de mes conquêtes Debutantes, et soucieux d’avoir affaire à des professionnelles, j’ai passé, pour la première fois, la porte d’un « bar à bouchons » parisien. Je me suis immédiatement retrouvé entrepris par une jeune femme qui était – nous y voilà – une synthèse de butch, d’escort et de stripper : une prostituée superbe, plus tomboy que Michelle Rodriguez (à l’époque, j’aurais dit : « que Linda Hamilton ») et possédant merveilleusement l’art subtil de la private dance.

Chacun connaît le rituel en vigueur dans ce genre d’endroit (of course, you do… ;)) : on s’acquitte d’une bouteille de champagne, ainsi que d’un pourboire donnant droit à un tête-à-tête avec une hôtesse dans un salon ; on vole ensuite quelques heures charmantes à la vie ; on offre enfin, au moment de partir, un second pourboire à l'hôtesse, à la mesure de la prestation fournie par elle.

Nous nous isolons donc, et, sur fond Acid House typique de l’époque, la fascinante créature se livre à un effeuillage torride – parfait corps d’Amazone, mouvements hypnotiques, avec quelque chose d’une danse de guerre sauvage (aujourd’hui, bien sûr, je diagnostiquerais immédiatement un ascendant Scorpion) : le haka sanguinaire d’une Valkyrie croisée Gitane vindicative.

Elle est bientôt entièrement nue – à l’exception d’une de ses bottines qu’elle a gardée au pied.

Dans ma jeune conscience, embrasée par le spectacle, fuse une kyrielle d'interrogations telles que : « Pourquoi garde-t-elle cette bottine unique ?... Que va-t-elle me faire subir avec cette bottine unique ?... Peut-être qu’une fois sur moi… ou moi sur elle… quand je ferai ceci ou cela… elle fera ça ou ça… passer sa jambe autour de moi, dans une clé fatale… avec la bottine… qui servira à nouer inextricablement ses deux pieds, peut-être… autour de mon cou… Je n’en sais rien, mais je suis partant : si c’est un piège, j’espère qu’il est agréable ! »

Nous ouvrons les hostilités – et tout le temps que dure la partie, je ne cesse de me dire, à chaque fois qu’augmente l’intensité des choses : « OK, c’est maintenant qu’elle va faire le truc avec la bottine… ». Mais non. Et le suspense se prolonge.

Nous terminons. C’est fini. Je me lève. Je lui donne son pourboire. Elle le prend. Et le glisse dans la bottine.

(5 juin 2018)

38. Again the inhuman voice !

Commentaire : Fra Alion dit de ce verset : < Inhuman = Divine.

On sait, en effet, que la voix d'un humain est altérée par absolument toutes les émotions qui l'atteignent durant sa vie, dans toutes les cinq catégories, évidemment élémentales, des émotions-qui-atteignent : Colère, Déni, Peur, Marchandage, Acceptation. Et si vous êtes juif ou natif de la Vierge, vous avez Renégociation en plus.

Or c'est le fait d'être inaltérable (saint au sens strict) qui caractérise le Divin.

39. I rear my Titan bulk into the teeth of the gale, and I smite and prevail, and swing me out over the sea.

Commentaire : Aucun Thélémite n'ignore que le mot Τιτάν a pour isopséphie 666, mais a t-on vraiment compris ce que signifie le fait d'appeler le Sage suprême "la Bête" ?

Une bête est un être en parfaite résonnance avec la force qu'il symbolise (d'où dieux égyptiens zoomorphes ou zoocéphales), de même qu'Ankh-af-na-khonsu annule toute opacité entre lui et le Divin : < The light is mine; its rays consume Me >, comme il est écrit (AL 3, 38). C'est pourquoi, dans l'œuvre de < l'obeah et du wanga > (AL 1, 37), i.e. en Vaudou, l'officiant que la Divinité possède est appelé "Cheval".

Du mazzeru corse au bonnet jaune mongol, telle est l'universelle ascèse des chamanes que résume le Liber Astarte vel Berylli sub Figurâ CLXXV, ainsi que je l'expliquais, en 2011, à de jeunes païens soucieux de résonner, dans leur vie sociale, au maximum avec le dieu Thor :
« Thor au plan social » exige une certaine connaissance des caractéristiques de cet Ase. Mettons, par exemple, qu’un Noir, appelé Daddy Cool, occupe votre place de parking. Thor est bienveillant : vous demandez (paternellement) à Daddy Cool d’aller se garer plus loin. Daddy Cool refuse. Thor est irascible : vous carrez un parcmètre dans le cul de Daddy Cool, et détruisez sa caisse à coups de barre-à-mine. Mais Thor est généreux : vous lancez à Daddy Cool gisant quelques menues piécettes, afin de lui permettre de se rendre, en bus, au cabinet de proctologie le plus proche – Après quoi, guilleret, – Thor est enthousiaste –, vous allez dîner chez Maxim’s – Thor est gourmand –, puis festoyer en boîte jusqu’à l’aube – Thor est joyeux.
Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.

Belle journée à tous.

Love is the law, love under will.


- ☉︎ in 25° ♊︎ : ☽︎ in 3° ♍︎ : ☿︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.

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mardi 15 juin 2021

Beautiful Bizarre

Amis chers, gens beaux et heureux,

Do what thou wilt shall be the whole of the Law.

C'est le quarante-sixième des Beaux Jours et vous arrive t-il parfois de prendre un doliprane, puis de ne plus vous rappeler si vous l'avez bien pris et, dans le doute, d'en prendre un deuxième ? Je viens juste de faire ça avec mes THC Gummies.

Amis chers, la Lecture de ce mardi est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 3, versets 32 à 35.

32. I am still.

Commentaire : L'adéquation stillness = attainment, qui va de soi en Extrême-Orient, et confine même à l'obsession maniaque chez les Japonais, m'a longtemps perturbé, moi qui répète à qui veut l'entendre le Shumulisme fondamental : 

Si vous pensez qu’une seconde n’a pas d’importance, parlez-en à la jeune fille qui vient de manquer d’une seconde la médaille d’or aux JO. Si vous pensez qu’un mois n’a pas d’importance, demandez la valeur d’un mois à la femme qui vient de mettre au monde un prématuré.

C'est que les Occidentaux se méprennent sur le concept de "calme". Ils voient ça comme "être au lit" et c'est idiot : j'ai passé une partie non-négligeable de ma vie adulte au lit, je n'y ai jamais été calme.

Tout ceci pour dire que je finirai probablement maître de Kyūdō au Japon. C’est une des rares choses qui ait mon respect intégral. Je raffole de l’arc en bambou, tellement zen et hors de prix, que je me suis offert. Si je m’écoutais, je partirais avec lui à Maui pour l’épouser. C’est le seul endroit au monde où l’on peut se marier avec un objet inanimé, à condition d’exécuter la danse sacrée du kiavé — Bien sûr, un Japonais répliquerait calmement que quelqu'un qui traite son arc d'objet inanimé n'a rien compris au Kyūdō.

33. Thou art like an osprey among the rice, I am the great red pelican in the sunset waters.

Commentaire : La Messe du Phénix, que, — sous l'influence du substrat piscivore chrétien, — nous avons tout d'abord tendance à voir comme un rite auto-sacrificiel tragique, dévoile progressivement, à mesure des années de célébration, son véritable sens, qui est : Ayez une lecture sensuelle et colorée de l'existence. Vivez dans une toile de Gustave Moreau. Sacrifiez tout sur l'autel du Beautiful Bizarre, voire de l'Unheimliche, à l'heure du Crépuscule.

34. I am like a black eunuch ; and Thou art the scimitar. I smite off the head of the light one, the breaker of bread and salt.

Commentaire : Feu le prêtre-roi Melchisédech, de sainte mémoire, décapité live par feu le chanteur Sylvester, de disco mémoire, et ce n'est même pas un happening BLM !!!

La véritable volupté est celle de ne rien faire 
et c'est bien le problème: l'inertie (black et eunuch) vient à bout de tout, même de la verticalité ultime (prêtre et roi de Salem ! — Notez que Salem est l'ancêtre de Jérusalem, et que cette ville a été nommée ainsi en hommage à Shalem, dieu du Crépuscule dans le panthéon cananéen : il n'est pas très étonnant que le Mur Ouest soit le seul à avoir tenu.)

L'idée n'est pas d'avoir une lecture fataliste de la chose, mais de magiquement l'utiliser au profit de notre intelligence.

Car, oui ! Paresse, Plaisir et Nécessité, les trois boulets de l'inertie, sont aussi les trois boosters de l'Intelligence.

L'Intelligence est à l'Intellect ce que le champion du monde de poker est à un médecin légiste : peu importe ce que vous faites de vos jetons, vous ne pouvez les gagner que par Paresse, Plaisir ou Nécessité.

Ainsi, l'homme qui a imaginé le yacht History Supreme est un homme que rebutait l'idée de naviguer dans l'inconfort d'une embarcation de réfugiés maliens : sa Paresse l'a rendu intelligent.

Ainsi, l'homme qui a conçu le calibre .50 Action Express est un homme qu'un réfugié malien, appelé Daddy Cool, a traité de "raciste" une fois de trop : la Nécessité l'a rendu intelligent.

Ainsi, moi qui, en fait d'informatique, suis, tout au plus, capable d'allumer et d'éteindre un ordinateur, je me transforme en plus prodigieux hacker du monde dès qu'il s'agit de traquer un potin sur Michelle Rodriguez ou Sofía Vergara (J'ai un crush énorme sur Sofía Vergara. Ou alors il y a un anaconda dans ma poche.) : le Plaisir me rend intelligent.

35. Yea ! I smite — and the blood makes as it were a sunset on the lapis lazuli of the King’s Bedchamber.

Commentaire : Il l'a décapité dans la chambre du roi ? C'était donc un porteur de mauvaise nouvelle, comme une araignée du matin ! Je suis pour la restauration de l'usage de décapiter quiconque annonce une tuile.

Saviez-vous que le seul porteur de mauvaise nouvelle épargné dans toute l'histoire de la Chine ancienne est l'esclave qui annonça à l'Empereur l'arrivée des Huns juste après que la Muraille a été achevée, parce que, du coup, la nouvelle n'était plus mauvaise ? — Il faut avoir essayé de marchander avec un antiquaire chinois pour saisir l'ahurissante subtilité de ce type de psychologie...

Personnellement, en fait de psychologie, j'en suis resté aux fondamentaux :

1. Lorsque vous vous apprêtez à passer la nuit aux Bains, ne dites pas à vos parents "Salut, ne m'attendez pas pour dîner !" mais dites : "Je me rends à une veillée de prière pour le Rwanda, cela risque de se prolonger tard dans la nuit." 

2. Lorsque Anne-Aubépine de Choiseul-Harcourt vous présente à sa famille, rue de la Pompe, vous devez dire à votre future belle-mère "Je suis membre de l'Académie française" et non "J'ai une bite de trente centimètres". Lorsque c'est Aella-Maria Lopez, badass chick de Vitry-sur-Seine, qui vous présente à ses cousins, c'est le contraire. Gare à vous si vous vous trompez. Dans un cas vous mettrez belle-maman en PLS, dans l'autre on vous fera bouffer votre bicorne.

Du coup, j'admire la Chine et finirai peut-être plutôt maître de go sur l'île de Hainan.

Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.

Belle journée à tous.

Love is the law, love under will.


- ☉︎ in 24° ♊︎ : ☽︎ in 20° ♌︎ : ♂︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.

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