In His Victory I pursued His enemies; yea I drave them down the steep; I thundered after them into the utmost abyss : Dans Sa Victoire, j'ai poursuivi Ses ennemis; oui, je les ai contraint à la retraite dans le ravin; j'ai hurlé d'une voix de tonnerre en les traquant jusqu'au tréfonds de l'abîme. (Liber Ararita 3, 7)
Do what thou wilt shall be the whole of the Law.
Évidemment, j’ai redit, ce matin, l’histoire qu'absolument tout le monde répète le 11 novembre : Maître Therion avait pour habitude, à Mabon et Ostara, d’obtenir du Livre de la Loi, par bibliomancie, la « Parole de l’Équinoxe » (un oracle sur la marche du monde). Le 23 septembre 1918 e.v., il obtint le mot < eleven > et n’en comprit l’augure qu'en apprenant, cinquante jours plus tard, que l’Armistice avait été signé le 11/11 à 11 heures.
On m’a alors demandé, relativement à l’étude d’hier, pourquoi la quasi-totalité des traditions religieuses donnaient aux personnifications de Geburah, – Sphère centrale du Pilier Féminin, – des attributs martiaux, donc virils.
Comme d’habitude, le Secret est dans les runes : Geburah (Justice) est le nom hébreu donné à la Sphère de Ear ᛠ, rune au moyen de laquelle fut, selon l'Edda, créée la planète Mars et dont le nom signifie « Tombeau ».
Tout est dit, je crois...
La Tombe est le triomphe inéluctable de la Matière, donc de la Femme, et la destination du soldat. La tombe est le repos du guerrier : vous voyez que c’est féminin !
La personnification européenne de la chose est Týr d’Ásgard, < le meilleur des hommes > qui finit atrocement mutilé, sadiquement contraint de sacrifier sa dextre – et, donc, de voir, en un instant, anéanti le fruit d’années d’entraînement au maniement des armes, – afin de procurer un répit très provisoire à une humanité qui s’en moque et n’aspire qu’au despotisme dont l’Ase désormais manchot tente de la préserver ! Týr, avec son moignon, représente ce que la guerre, – phénomène contre-évolutif qui ne fait qu’éliminer les meilleurs, – a d’intégralement nihiliste.
Mais Geburah est aussi la Sphère dont procède le Sentier de la Justesse ל, attribué au signe de la Balance ♎, c’est-à-dire à l’Harmonie et aux splendeurs de l’Automne, trop vite saccagées par la boue du Scorpion : voilà l’enseignement de Geburah, donc du 5, donc du Pentagramme, emblème de NUIT (AL 1, 60) et fleur de cerisier chère aux Samouraïs : la vie est belle, mais courte (Venus la Gorgeous et Saturne l'Inexorable Vieux sont les deux planètes rectrices de la Balance) – telle est la Seule Véritable Philosophie de la Voie du Guerrier. Et de la Femme, bien sûr, dont la hantise est la Péremption.
Du reste, si, naturellement, les notions de religion, de philosophie, d'éthique, de vertu, de morale, de devoir, de patrie, etc. semblent à la femme parfaitement niaises, c’est le christianisme qui a fait d’elle une bonniche, une ménagère-de-moins-de-cinquante-ans (« ainsi appelée parce que connasse-qu’en-branle-pas-une-devant-sa-télé était déjà pris »*), indifférente à l’issue du combat puisqu’elle ne risque, si la ville tombe, que d’avoir à écarter les jambes...
En réalité, depuis que la Grande Guerre a moralement mis fin à l’ère chrétienne, on a redécouvert, – dans l’Allemagne du IIIe Reich comme dans les Forces de Défense Israéliennes, – ce qui, pour nos Aïeux aux fixations viragophiles (Valkyries, Amazones…), allait de soi : la femme est un guerrier infiniment plus féroce, dur-au-mal, acharné, que l’homme. D’où l’injonction du Livre de la Loi : < Let the woman be girt with a sword before me > (AL 3, 11), qui signifie < Que la femme soit ceinte d’une épée devant moi >, mais peut se lire, mot-à-mot : < Laissez la femme être ceinte d’une épée devant moi ! >
Voyez le Verset 7 du Chapitre 3 d’Ararita, qui correspond à Netzach, la Sphère de Vénus, et dites-moi si ce n’est pas de la férocité, de l’endurance et de l’acharnement : < Dans Sa Victoire, j'ai poursuivi Ses ennemis; oui, je les ai contraint à la retraite dans le ravin; j'ai hurlé d'une voix de tonnerre en les traquant jusqu'au tréfonds de l'abîme ! > (Ara 3, 7)
Love is the law, love under will.
ϣ. — ☉︎ in 18° ♏︎ : ☽︎ in 5° ♉︎ : ☽︎ : Ⅴⅴ
* La Bajon copyright.
Do what thou wilt shall be the whole of the Law.
Évidemment, j’ai redit, ce matin, l’histoire qu'absolument tout le monde répète le 11 novembre : Maître Therion avait pour habitude, à Mabon et Ostara, d’obtenir du Livre de la Loi, par bibliomancie, la « Parole de l’Équinoxe » (un oracle sur la marche du monde). Le 23 septembre 1918 e.v., il obtint le mot < eleven > et n’en comprit l’augure qu'en apprenant, cinquante jours plus tard, que l’Armistice avait été signé le 11/11 à 11 heures.
On m’a alors demandé, relativement à l’étude d’hier, pourquoi la quasi-totalité des traditions religieuses donnaient aux personnifications de Geburah, – Sphère centrale du Pilier Féminin, – des attributs martiaux, donc virils.
Comme d’habitude, le Secret est dans les runes : Geburah (Justice) est le nom hébreu donné à la Sphère de Ear ᛠ, rune au moyen de laquelle fut, selon l'Edda, créée la planète Mars et dont le nom signifie « Tombeau ».
Tout est dit, je crois...
La Tombe est le triomphe inéluctable de la Matière, donc de la Femme, et la destination du soldat. La tombe est le repos du guerrier : vous voyez que c’est féminin !
La personnification européenne de la chose est Týr d’Ásgard, < le meilleur des hommes > qui finit atrocement mutilé, sadiquement contraint de sacrifier sa dextre – et, donc, de voir, en un instant, anéanti le fruit d’années d’entraînement au maniement des armes, – afin de procurer un répit très provisoire à une humanité qui s’en moque et n’aspire qu’au despotisme dont l’Ase désormais manchot tente de la préserver ! Týr, avec son moignon, représente ce que la guerre, – phénomène contre-évolutif qui ne fait qu’éliminer les meilleurs, – a d’intégralement nihiliste.
Mais Geburah est aussi la Sphère dont procède le Sentier de la Justesse ל, attribué au signe de la Balance ♎, c’est-à-dire à l’Harmonie et aux splendeurs de l’Automne, trop vite saccagées par la boue du Scorpion : voilà l’enseignement de Geburah, donc du 5, donc du Pentagramme, emblème de NUIT (AL 1, 60) et fleur de cerisier chère aux Samouraïs : la vie est belle, mais courte (Venus la Gorgeous et Saturne l'Inexorable Vieux sont les deux planètes rectrices de la Balance) – telle est la Seule Véritable Philosophie de la Voie du Guerrier. Et de la Femme, bien sûr, dont la hantise est la Péremption.
Du reste, si, naturellement, les notions de religion, de philosophie, d'éthique, de vertu, de morale, de devoir, de patrie, etc. semblent à la femme parfaitement niaises, c’est le christianisme qui a fait d’elle une bonniche, une ménagère-de-moins-de-cinquante-ans (« ainsi appelée parce que connasse-qu’en-branle-pas-une-devant-sa-télé était déjà pris »*), indifférente à l’issue du combat puisqu’elle ne risque, si la ville tombe, que d’avoir à écarter les jambes...
En réalité, depuis que la Grande Guerre a moralement mis fin à l’ère chrétienne, on a redécouvert, – dans l’Allemagne du IIIe Reich comme dans les Forces de Défense Israéliennes, – ce qui, pour nos Aïeux aux fixations viragophiles (Valkyries, Amazones…), allait de soi : la femme est un guerrier infiniment plus féroce, dur-au-mal, acharné, que l’homme. D’où l’injonction du Livre de la Loi : < Let the woman be girt with a sword before me > (AL 3, 11), qui signifie < Que la femme soit ceinte d’une épée devant moi >, mais peut se lire, mot-à-mot : < Laissez la femme être ceinte d’une épée devant moi ! >
Voyez le Verset 7 du Chapitre 3 d’Ararita, qui correspond à Netzach, la Sphère de Vénus, et dites-moi si ce n’est pas de la férocité, de l’endurance et de l’acharnement : < Dans Sa Victoire, j'ai poursuivi Ses ennemis; oui, je les ai contraint à la retraite dans le ravin; j'ai hurlé d'une voix de tonnerre en les traquant jusqu'au tréfonds de l'abîme ! > (Ara 3, 7)
Love is the law, love under will.
ϣ. — ☉︎ in 18° ♏︎ : ☽︎ in 5° ♉︎ : ☽︎ : Ⅴⅴ
* La Bajon copyright.