Amis chers, gens beaux et heureux,
Do what thou wilt shall be the whole of the Law.
C'est le dix-huitième des Beaux Jours et la Greater Feast du très admirable Elias Ashmole FRS, de sainte mémoire, que DIEU, dans Son infinie bonté, fit mourir en 1692 afin de lui épargner le chagrin de voir sa création, la franc-maçonnerie spéculative, devenir, au XXème siècle, une obscure annexe de rotary club pour notables de province.
Amis chers, la Lecture de ce mardi est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 1, versets 36 à 39.
36. Thou art a beautiful thing whiter than a woman in the column of this vibration.
Commentaire : On m'a demandé hier quelle était, de tout le cours de l'histoire humaine, la figure féminine que j'admirais le plus — "en dehors de Jennifer Lopez et de Kim Kardashian, bien sûr."
J'ai dit : "Incontestablement Jingū Kōgō, l'impératrice douairière et prêtresse du soleil, régente du Japon au IIIème siècle — non parce qu'elle inventa les ninja en dissimulant dans les chignons de ses guerriers (le chignon, c'est la femme) des cordes de rechange pour leurs arcs (colonnes et vibrations indeed), mais parce qu'elle fut, — en tant que badass chick ultime et itako prodige, qui conquit la Corée enceinte de huit mois, — la plus impeccable synthèse de Tiger Lily, Tinker Bell et Wendy Darling que la Terre ait jamais portée."
Do what thou wilt shall be the whole of the Law.
C'est le dix-huitième des Beaux Jours et la Greater Feast du très admirable Elias Ashmole FRS, de sainte mémoire, que DIEU, dans Son infinie bonté, fit mourir en 1692 afin de lui épargner le chagrin de voir sa création, la franc-maçonnerie spéculative, devenir, au XXème siècle, une obscure annexe de rotary club pour notables de province.
Amis chers, la Lecture de ce mardi est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 1, versets 36 à 39.
36. Thou art a beautiful thing whiter than a woman in the column of this vibration.
Commentaire : On m'a demandé hier quelle était, de tout le cours de l'histoire humaine, la figure féminine que j'admirais le plus — "en dehors de Jennifer Lopez et de Kim Kardashian, bien sûr."
J'ai dit : "Incontestablement Jingū Kōgō, l'impératrice douairière et prêtresse du soleil, régente du Japon au IIIème siècle — non parce qu'elle inventa les ninja en dissimulant dans les chignons de ses guerriers (le chignon, c'est la femme) des cordes de rechange pour leurs arcs (colonnes et vibrations indeed), mais parce qu'elle fut, — en tant que badass chick ultime et itako prodige, qui conquit la Corée enceinte de huit mois, — la plus impeccable synthèse de Tiger Lily, Tinker Bell et Wendy Darling que la Terre ait jamais portée."
37. I shoot up vertically like an arrow, and become that Above.
Commentaire : En fait de glose sur ce verset, le Maître Therion (qu'il soit béni et vénéré) se contente de dessiner deux flèches verticales, l'une ascendante, l'autre descendante, se faisant face.
Fra Orpheus voit dans ce glyphe : < An intimation of Sagittarius as in verse 9 of this chapter. >
Fra Alion y voit : < An arrow that reaches and unites with "the One" Above. >
Je dis : C'est tout le mystère que contracte la rune Ior ᛡ : le soleil est le cœur d'un système dont l'objet est la Beauté, et le centre secret du soleil en question est Hadit, < le Serpent qui donne Connaissance & Délice et gloire éclatante et fait vibrer les cœurs des hommes par l'ivresse > (AL 2, 22).
38. But it is death, and the flame of the pyre.
Commentaire : Mon fils bien-aimé doit assister, dans les jours qui viennent, aux funérailles de la grand-mère de sa fiancée, et me demandait (compte tenu du décorum imposé par le kayfabe du sketch coronavirus, qui impose aux conjoints de se tenir en dehors des lieux de cérémonies) que faire, religieusement, dans ce cas.
Je lui ai recommandé de dire tout de même l'Hymne à Pan et d'éviter, autant que faire se peut, de porter du noir.
Il m'a répondu ne pouvoir "diplomatiquement", — dans le cadre de funérailles trog, et même chrétiennes, — se dispenser de noir, mais être heureux, pour la défunte, que le christianisme de sa famille ne s'étende pas, si j'ose dire, jusqu'à l'inhumation et qu'il soit question de l'incinérer.
Le Livre de la Loi prescrit, comme on sait, la dissolution (AL 2, 44), aussi rapide et complète que possible, de la dépouille d'un mort honorable, afin d'assurer à celui-ci une félicité maximale dans l'au-delà (AL 2, 21) — d'où, en dehors de l'aspect "funérailles lumineuses", l'importance, pour les < seigneurs de la terre > que sont les Thélémites, d'être incinérés : nous régnons sur la < terre noire > (AL 1, 26), la < terre noire > ne règne pas sur nous.
Un rabbin, rosh yeshiva, m'a dit un jour qu'aux temps messianiques, les morts se lèveraient de leurs tombes et qu'il ne fallait, donc, pas détruire leurs corps.
Je lui ai fait remarquer que, notre âme ayant connu d'innombrables guilgoulim, choisir le corps dans lequel "ressusciter" risquait, de toute façon, de poser un sérieux dilemme et que, d'autre part, les vers faisaient comme les flammes — en moins bien, moins propre et beaucoup plus lent.
Le feu est le seul élément incorruptible et le seul qui arrache directement l'âme à ses substrats de liens terrestres, lesquels sont la seule cause possible de souffrance lors du Passage : il n'y a, en revanche, < no dread hereafter > s'il y a < dissolution > (AL 2, 44) : "au Paradis en un clin d'œil", comme disaient les vikings.
39. Ascend in the flame of the pyre, O my soul ! Thy God is like the cold emptiness of the utmost heaven, into which thou radiatest thy little light.
Commentaire : Le rabbin a répliqué que le corps des ressuscités serait un corps parfait, éternel, et j'ai répondu que la seule manière, pour une entité, d'opérer éternellement, était la dissolution de l'enveloppe qui cristallise et rend visible, temporellement, le thélème de cette entité dans la mesure de l'objectif spécifique d'une incarnation donnée : c'est ainsi que les Taoïstes brûlent des billets de banque (la fameuse Hell Money) lors des funérailles, pour assurer au défunt la richesse dans l'autre vie.
"Votre argument, rav, est d'enterrer le bas de laine du défunt, pour qu'il le retrouve lors de son incarnation suivante : c'est courir le risque que la monnaie dont est constitué ce pécule n'ait plus cours à ce moment-là — L'argument taoïste est ce principe magique de base, que la destruction rituelle par le feu libère l'essence de la chose que l'on brûle des limites imposées pas la mesure temporelle momentanée qu'elle a intégrée — Le Pouvoir de l'Or, — qui, dit la Magie, est la Lumière Infinie descendue au maximum, jusqu'au plan minéral, et que contracte le pentacle du billet de banque, — est libéré par cette dissolution et accompagnera l'âme du défunt dans sa redescente vers sa vie suivante, se rematérialisant dans le mode d'échange qui, alors, aura cours."
Commentaire : En fait de glose sur ce verset, le Maître Therion (qu'il soit béni et vénéré) se contente de dessiner deux flèches verticales, l'une ascendante, l'autre descendante, se faisant face.
Fra Orpheus voit dans ce glyphe : < An intimation of Sagittarius as in verse 9 of this chapter. >
Fra Alion y voit : < An arrow that reaches and unites with "the One" Above. >
Je dis : C'est tout le mystère que contracte la rune Ior ᛡ : le soleil est le cœur d'un système dont l'objet est la Beauté, et le centre secret du soleil en question est Hadit, < le Serpent qui donne Connaissance & Délice et gloire éclatante et fait vibrer les cœurs des hommes par l'ivresse > (AL 2, 22).
38. But it is death, and the flame of the pyre.
Commentaire : Mon fils bien-aimé doit assister, dans les jours qui viennent, aux funérailles de la grand-mère de sa fiancée, et me demandait (compte tenu du décorum imposé par le kayfabe du sketch coronavirus, qui impose aux conjoints de se tenir en dehors des lieux de cérémonies) que faire, religieusement, dans ce cas.
Je lui ai recommandé de dire tout de même l'Hymne à Pan et d'éviter, autant que faire se peut, de porter du noir.
Il m'a répondu ne pouvoir "diplomatiquement", — dans le cadre de funérailles trog, et même chrétiennes, — se dispenser de noir, mais être heureux, pour la défunte, que le christianisme de sa famille ne s'étende pas, si j'ose dire, jusqu'à l'inhumation et qu'il soit question de l'incinérer.
Le Livre de la Loi prescrit, comme on sait, la dissolution (AL 2, 44), aussi rapide et complète que possible, de la dépouille d'un mort honorable, afin d'assurer à celui-ci une félicité maximale dans l'au-delà (AL 2, 21) — d'où, en dehors de l'aspect "funérailles lumineuses", l'importance, pour les < seigneurs de la terre > que sont les Thélémites, d'être incinérés : nous régnons sur la < terre noire > (AL 1, 26), la < terre noire > ne règne pas sur nous.
Un rabbin, rosh yeshiva, m'a dit un jour qu'aux temps messianiques, les morts se lèveraient de leurs tombes et qu'il ne fallait, donc, pas détruire leurs corps.
Je lui ai fait remarquer que, notre âme ayant connu d'innombrables guilgoulim, choisir le corps dans lequel "ressusciter" risquait, de toute façon, de poser un sérieux dilemme et que, d'autre part, les vers faisaient comme les flammes — en moins bien, moins propre et beaucoup plus lent.
Le feu est le seul élément incorruptible et le seul qui arrache directement l'âme à ses substrats de liens terrestres, lesquels sont la seule cause possible de souffrance lors du Passage : il n'y a, en revanche, < no dread hereafter > s'il y a < dissolution > (AL 2, 44) : "au Paradis en un clin d'œil", comme disaient les vikings.
39. Ascend in the flame of the pyre, O my soul ! Thy God is like the cold emptiness of the utmost heaven, into which thou radiatest thy little light.
Commentaire : Le rabbin a répliqué que le corps des ressuscités serait un corps parfait, éternel, et j'ai répondu que la seule manière, pour une entité, d'opérer éternellement, était la dissolution de l'enveloppe qui cristallise et rend visible, temporellement, le thélème de cette entité dans la mesure de l'objectif spécifique d'une incarnation donnée : c'est ainsi que les Taoïstes brûlent des billets de banque (la fameuse Hell Money) lors des funérailles, pour assurer au défunt la richesse dans l'autre vie.
"Votre argument, rav, est d'enterrer le bas de laine du défunt, pour qu'il le retrouve lors de son incarnation suivante : c'est courir le risque que la monnaie dont est constitué ce pécule n'ait plus cours à ce moment-là — L'argument taoïste est ce principe magique de base, que la destruction rituelle par le feu libère l'essence de la chose que l'on brûle des limites imposées pas la mesure temporelle momentanée qu'elle a intégrée — Le Pouvoir de l'Or, — qui, dit la Magie, est la Lumière Infinie descendue au maximum, jusqu'au plan minéral, et que contracte le pentacle du billet de banque, — est libéré par cette dissolution et accompagnera l'âme du défunt dans sa redescente vers sa vie suivante, se rematérialisant dans le mode d'échange qui, alors, aura cours."
Il n'a rien répondu.
Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.
Belle journée à tous.
Love is the law, love under will.
- ☉︎ in 27° ♉︎ : ☽︎ in 10° ♌︎ : ♂︎ : Ⅴⅴⅰⅰ.
Précédent commentaire sur ce péricope : Web Redemption (2020)
93!!
RépondreSupprimerQuelque chose de la dernière partie de l'Ouverture du Voile.
SupprimerSuperbe! Merci.
RépondreSupprimer☀️
SupprimerAu paradis avec vous...en un clin d'œil!
RépondreSupprimerJe vous en prie, il m'arrive de tenir un peu...
SupprimerPourquoi les commentaires ferment pendant la nuit ??
RépondreSupprimerParce que j'ai trouvé cette façon originale de me dispenser d'avoir des commentaires à modérer le matin. Le matin sert à faire du sexe, du Liber V et des petits-déjeuners somptueux en écoutant Mozart dans la lumière de mai.
SupprimerÇa vous arrive souvent de discuter avec des rabbins ?
RépondreSupprimerAmi con, aussi souvent que la chose peut vous faire chier.
SupprimerJ'ai toujours aimé Shumule pour ses rodomontades qui me rappellent l'époque où nous l'appelions, entre amies, "le Grandiloquent", parce qu'il est long comme un jour sans pain et qu'il a une tchatche de la mort.
RépondreSupprimerRod O'Montade serait un bon pseudo.
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