Amis chers, gens beaux et heureux,
Do what thou wilt shall be the whole of the Law.
C'est le treizième des Beaux Jours et j'ai eu un échange passionnant dans les commentaires, au cours duquel j'ai pu, à nouveau, rappeler que ma position sur la politique israélienne se résume à : Tout ce qui a le soutien de Gal Gadot a mon soutien. Je raserais la Palestine pour un sourire de Gal Gadot.
Amis chers, la Lecture de ce jeudi est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 1, versets 20 à 23.
20. I will spear Thee, O Thou little grey god, unless Thou beware !
Commentaire : On ne peut contempler DIEU en l’absence de support sensible, puisque DIEU est Absolu : c'est à rendre possible la contemplation de DIEU que sert la Nature.
Or, le Maître Therion (qu'il soit béni et vénéré) dit de la Nature qu'elle est Babalon. Et Babalon est une femme. C'est pourquoi toute femme est façonnée de manière à faire désirer l'Union : la contemplation de DIEU dans les femmes est la plus directe. Et la plus directe des contemplations directes de DIEU est dans le sourire de Gal Gadot.
A l'opposé, ce qui caractérise le Heathen, c'est d'avoir, envers le Divin, une admiration lunaire (de même que la pelure de ghetto aime à voir le rappeur starifié, pour admirer en celui-ci l'image par laquelle elle valide, pour elle-même, sa propre existence) : être Trog, c'est chercher un moyen de déifier sa Trogitude.
Ainsi, le < little grey god >, déité tutélaire des Troglodytes, est-il le < dieu des hommes > par excellence (AL 3, 49), l'excrément de l'idée du Divin que révèrent les Heathen, le dieu qu'ils ont fait à leur < petite et grise > image : c'est le dieu des chrétiens, < ce dieu des Recoins... ce dieu si méprisable qu’il faudrait le rejeter même s’il existait > (Nietzsche), ce < mix de Big Brother, de maton et d’Ubu > (Sir Shumule), ce dieu créé par des hommes sordides, pour des hommes sordides, en fonction de leurs besoins sordides, ce dieu complètement injuste, velléitaire, caractériel, mesquin, cafard, cyclothymique, rabat-joie, mauvais perdant, bourreau d’enfant, qui se complaît dans l’intrigue et les commérages, qui punit le héros et récompense le pleurnichard, qui exige de l’homme qu’il soit commun (plus l’homme est commun, plus il est satisfait) et qui, si un homme commun ne croit pas en lui, l’y contraint, en tuant sa fille ou en le plaçant dans une situation précaire où ce malheureux < wretched and weak > doit le supplier (AL 2, 21).
Le dieu des Trogs est un vieux grigou, un imbécile et un médiocre, avec une small dick energy : le dieu des Trogs est un Trog.
Or les Livres Saints nous disent ici : ce dieu ne se combat pas par le binaire, — qui est toujours un hommage indirect, — il ne se combat pas à mains nues : c'est par la Lance (spear), attribut du Prêtre, qu'on le soumet : c'est par l'Initiation que l'on remonte au DIEU dont le < little grey god > est le singe : c'est au sommet de la Montagne que se trouve la Source Pure dont procédait, à l'Origine, l'eau qui, descendue jusqu'au < vieux pays gris > troglodyte (LLL 5, 37 ; Cordis 5, 61), a formé un bourbier répugnant.
21. From the grey to the gold; from the gold to that which is beyond the gold of Ophir.
Commentaire : De ce verset, Fra Orpheus dit : < Finally, the completion of the Alchemical process. >
Mais la completion est de comprendre que le process est la completion : ce qui < vaut mieux que l'or d'Ophir >, c'est, précisément, cette compréhension (ça, et le sourire de Gal Gadot).
Comprenez : Il était une fois un Roi, qui envoya le Prince, son fils, chercher, sous l'apparence d'un simple capitaine de marine marchande, une cargaison d'or à Ophir.
Au cours du voyage, les pirates attaquèrent le Prince et se mirent à lui livrer une guerre d'usure sans merci : la traversée tourna à une suite ininterrompue de massacres, d'errances et de navires saccagés.
Un soir, le Prince, méditant sur ses blessures et l'intérêt de sa mission, comprit brusquement que le roi lui-même avait envoyé les pirates à ses trousses, et cela lui parut, à la fois, une basse intrigue politique, inextricablement tortueuse, et un immonde trait de sadisme de la part de son géniteur.
Tel Rambo, néanmoins, au prix de souffrances inouïes, indicibles, il s'acquitta de sa mission, exterminant les pirates et ramenant l'or d'Ophir au Palais.
Là, le roi, joyeux de son retour, lui expliqua tout : le véritable objet de son envoi en mission était de le contraindre à débarrasser la région des pirates qui l'infestaient — l'or n'était qu'un prétexte : mais si le roi avait annoncé officiellement la chose, les pirates ne se seraient évidemment pas montrés...
Do what thou wilt shall be the whole of the Law.
C'est le treizième des Beaux Jours et j'ai eu un échange passionnant dans les commentaires, au cours duquel j'ai pu, à nouveau, rappeler que ma position sur la politique israélienne se résume à : Tout ce qui a le soutien de Gal Gadot a mon soutien. Je raserais la Palestine pour un sourire de Gal Gadot.
Amis chers, la Lecture de ce jeudi est le Liber Liberi vel Lapidis Lazuli Adumbratio Kabbalæ Ægyptorium sub figurâ VII, chapitre 1, versets 20 à 23.
20. I will spear Thee, O Thou little grey god, unless Thou beware !
Commentaire : On ne peut contempler DIEU en l’absence de support sensible, puisque DIEU est Absolu : c'est à rendre possible la contemplation de DIEU que sert la Nature.
Or, le Maître Therion (qu'il soit béni et vénéré) dit de la Nature qu'elle est Babalon. Et Babalon est une femme. C'est pourquoi toute femme est façonnée de manière à faire désirer l'Union : la contemplation de DIEU dans les femmes est la plus directe. Et la plus directe des contemplations directes de DIEU est dans le sourire de Gal Gadot.
A l'opposé, ce qui caractérise le Heathen, c'est d'avoir, envers le Divin, une admiration lunaire (de même que la pelure de ghetto aime à voir le rappeur starifié, pour admirer en celui-ci l'image par laquelle elle valide, pour elle-même, sa propre existence) : être Trog, c'est chercher un moyen de déifier sa Trogitude.
Ainsi, le < little grey god >, déité tutélaire des Troglodytes, est-il le < dieu des hommes > par excellence (AL 3, 49), l'excrément de l'idée du Divin que révèrent les Heathen, le dieu qu'ils ont fait à leur < petite et grise > image : c'est le dieu des chrétiens, < ce dieu des Recoins... ce dieu si méprisable qu’il faudrait le rejeter même s’il existait > (Nietzsche), ce < mix de Big Brother, de maton et d’Ubu > (Sir Shumule), ce dieu créé par des hommes sordides, pour des hommes sordides, en fonction de leurs besoins sordides, ce dieu complètement injuste, velléitaire, caractériel, mesquin, cafard, cyclothymique, rabat-joie, mauvais perdant, bourreau d’enfant, qui se complaît dans l’intrigue et les commérages, qui punit le héros et récompense le pleurnichard, qui exige de l’homme qu’il soit commun (plus l’homme est commun, plus il est satisfait) et qui, si un homme commun ne croit pas en lui, l’y contraint, en tuant sa fille ou en le plaçant dans une situation précaire où ce malheureux < wretched and weak > doit le supplier (AL 2, 21).
Le dieu des Trogs est un vieux grigou, un imbécile et un médiocre, avec une small dick energy : le dieu des Trogs est un Trog.
Or les Livres Saints nous disent ici : ce dieu ne se combat pas par le binaire, — qui est toujours un hommage indirect, — il ne se combat pas à mains nues : c'est par la Lance (spear), attribut du Prêtre, qu'on le soumet : c'est par l'Initiation que l'on remonte au DIEU dont le < little grey god > est le singe : c'est au sommet de la Montagne que se trouve la Source Pure dont procédait, à l'Origine, l'eau qui, descendue jusqu'au < vieux pays gris > troglodyte (LLL 5, 37 ; Cordis 5, 61), a formé un bourbier répugnant.
21. From the grey to the gold; from the gold to that which is beyond the gold of Ophir.
Commentaire : De ce verset, Fra Orpheus dit : < Finally, the completion of the Alchemical process. >
Mais la completion est de comprendre que le process est la completion : ce qui < vaut mieux que l'or d'Ophir >, c'est, précisément, cette compréhension (ça, et le sourire de Gal Gadot).
Comprenez : Il était une fois un Roi, qui envoya le Prince, son fils, chercher, sous l'apparence d'un simple capitaine de marine marchande, une cargaison d'or à Ophir.
Au cours du voyage, les pirates attaquèrent le Prince et se mirent à lui livrer une guerre d'usure sans merci : la traversée tourna à une suite ininterrompue de massacres, d'errances et de navires saccagés.
Un soir, le Prince, méditant sur ses blessures et l'intérêt de sa mission, comprit brusquement que le roi lui-même avait envoyé les pirates à ses trousses, et cela lui parut, à la fois, une basse intrigue politique, inextricablement tortueuse, et un immonde trait de sadisme de la part de son géniteur.
Tel Rambo, néanmoins, au prix de souffrances inouïes, indicibles, il s'acquitta de sa mission, exterminant les pirates et ramenant l'or d'Ophir au Palais.
Là, le roi, joyeux de son retour, lui expliqua tout : le véritable objet de son envoi en mission était de le contraindre à débarrasser la région des pirates qui l'infestaient — l'or n'était qu'un prétexte : mais si le roi avait annoncé officiellement la chose, les pirates ne se seraient évidemment pas montrés...
Voilà pour le sens des < danger & trouble > (AL 3, 11), étrangement contre-productifs, dont le Ciel jonche, paradoxalement, le cours de la mission sur Terre qu'il nous a lui-même confiée.
22. My God ! but I love Thee !
Commentaire : Il est écrit < to love me is better than all things > (AL 1, 61) — aimer DIEU est la panacée — rien de sentimental en cela, aucun affect : aimer DIEU veut dire pratiquer l'art pour l'art (ou pour le sourire de Gal Gadot).
Le Prince accomplit les Tâches de son Initiation par amour du Divin, sans connaître la raison de ces prescriptions, — comme il est écrit : < the key of the rituals is in the secret > (AL 1, 20) et < the rituals shall be half known and half concealed > (AL 1, 34), — ni même souhaiter les connaître, comme il est écrit : < If Power asks why, then is Power weakness > (AL 2, 31).
Une fois le Prince habitué à faire son Vrai Vouloir, DIEU lui dévoile les raisons secrètes des rites et des épreuves — L'ensemble de ce processus est le sens profond de < Thou knowest not; nor shalt thou know ever. There cometh one to follow thee: he shall expound it > (AL 2, 76).
23. Why hast Thou whispered so ambiguous things ? Wast Thou afraid, O goat-hoofed One, O horned One, O pillar of lightning ?
Commentaire : Lao-Tseu, le Mage entre les Mages, prône constamment la simplicité et la spontanéité, or le Tao Te King est aussi ambigu que le sourire de Gal Gadot.
Ce que méditant, allez, amis chers, sous la protection de cette sphère spirituelle dont le centre est partout et la circonférence nulle part et que nous appelons DIEU.
Belle journée à tous.
Love is the law, love under will.
Admirable. Lu 3 fois. Merci.
RépondreSupprimerMy pleasure.
SupprimerDanger and Trouble
RépondreSupprimer🤍🤍🤍
SupprimerTrès beau texte. A-t-on une idée de l'endroit où Ophir se trouve?
RépondreSupprimerLes deux hypothèses les plus vraisemblables sont au sud-ouest du Sahara (Mali actuel) ou encore beaucoup plus au sud-ouest du Sahara (Guinée actuelle).
SupprimerNe me demande pas pourquoi, mais Gadot me fait penser à Catherine Deneuve dans les années 80.
RépondreSupprimerDu coup j'ai regardé The Hunger. Mais impossible de me rappeler le titre du billet où tu en parlais.
Le Nez sur le rail
SupprimerJamais je n'oublierai ce billet où SS m'a appris le mot immarcescible.
Supprimer"Je raserais la Palestine pour un sourire de Gal Gadot" - Sir Shumule
RépondreSupprimerWow. So in love with her it hurts.
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