3.00 : Resh à 0.09, Hud 0.20 -> 1.20, Habibi 1.41 -> 2.40. Ararita 3, 2-5. Très bon texte l'année dernière.
Du reste, il n'y a rien d'autre à savoir sur Terre que : la Lumière Infinie arrive neutre. Selon la façon dont l'homme s'expose à elle (pensées, paroles et actions), elle tourne en rigueur (din) ou en bénédiction (chesed), de la même manière que le soleil embellit ou crame selon la gestion de l'indice UV.
"Examiner sa conduite" n'est pas quelque chose de moral, mais quelque chose de technique : faire en sorte que la Lumière tourne toujours vers chesed, parce qu'il est plus agréable de vivre avec de la chance, de la santé et de l'argent. Voilà pour la vie profane et la Proclamation d'Innocence.
(Pour le troglodyte lambda, qui choisit de ne pas recourir au libre arbitre et de vivre en animal, la Lumière tourne nécessairement en rigueur : la "loi de l'emmerdement maximum" existe bel et bien, parce que le propre de l'énergie est de tendre vers la matière, comme le propre de l'homme est de tendre vers la femme : si on "laisse faire", la Lumière tourne obligatoirement en rigueur. Question d'inertie.)
L'Initiation, en revanche, a pour objet de rendre l'homme progressivement capable d'encaisser la Lumière directe : qu'elle puisse ne tourner ni à droite, ni à gauche mais passer par le Pilier du Milieu (phénomène appelé Metzla), suscitant, selon le degré, la Paix, l'Illumination et l'Union à H'. C'est absolument tout. Le malheur de l'homme est de se laisser persuader par choronzon - l'Inertie, encore elle - de confondre Justesse et eau tiède. Et c'est là que le Livre de la Loi intervient.
8.40 : Resh 7.39, Bénédiction, Liber Reguli 7.50 -> 8.31. Vais redormir un peu. Tout succube désirant hanter mon sommeil est prié de prendre la forme de Selena Gomez.
10.55: Aucun souvenir de ce que les succubes m'ont fait subir. Commence la journée au Chivas : mon problème avec les très bons whiskies, c'est que je suis incapable d'en savourer un verre et de remettre la carafe à sa place pour un autre jour. Si je la commence, je la finis : je ne me contente pas d'un diadème, il me faut une couronne fermée.
12.31 : Resh à 12.29 (EP). Vais de ce pas faire THI ♑︎ (T).
13.11 : On me dit que Donald Trump fait face. Admirable. Il a l'occasion de devenir une légende, i.e. de se hisser au-dessus de l'histoire. N'importe quelle personne accédant au rang de chef d'Etat entre dans l'histoire en prenant ses fonctions : il est dès lors, en effet, impossible de raconter l'histoire complète de cet Etat sans nommer cette personne. La légende, elle, est un cran au-dessus et c'est pourquoi Fernand Nathan vous enseigne que "légende" veut dire "fable", alors que légende signifie littéralement "ce dont on parle".
Au plan occulte, un homme devient légendaire dès qu'il impacte suffisamment l'astral et, partant, le vécu collectif : même si toutes les preuves de son existence physique sont détruites ou falsifiées, l'humanité continuera bizarrement, et via des détours très inattendus, de célébrer sa mémoire. Cela vaut pour les saints, les héros, les lettrés, les artistes et, bien entendu les souverains.
Fernand Nathan veut faire disparaître Mérovée - mais il a donné son nom à une dynastie ; il veut faire disparaître Dagoberth, mais une comptine lui assure l'immortalité ; il veut faire disparaître Charles Martel et prétendre que la bataille de Poitiers n'a jamais eu lieu : l'Islam, hélas pour Fernand, transmet religieusement le souvenir de "la bataille pavée de martyrs" et, jusqu'au XXe siècle, appelait, en raison de cette bataille, tous les Occidentaux des Francs, etc.
On ne peut raconter l'Histoire de France dans son intégralité sans citer les rois Clovis IV, Raoul et François II, mais seuls les spécialistes connaissent leur œuvre. En revanche, on parlera de Charlemagne, de François Ier, d'Henri IV, de Louis XIV et de Napoléon tant que le monde durera, parce qu'ils ont irréversiblement imprimé la pellicule : ils sont dans la légende.
Quand les historiens font trop de dégâts, et à moins que les archéologues ne s'en mêlent, il ne reste plus, des grand hommes, que la légende. Elle est donc le fin mot de l'affaire, la seule chose qui importe, parce que la seule chose qui demeure : < they pass & are done, but there is that which remains >, comme il est écrit (AL 2, 9). Voir Arthur, Merlin l'Enchanteur, Perceval, et tous les grands anciens appelés "dieux", cad hommes dont on n'a retenu que l'ipséité : Krishna, Tahuti, Dionysos, Pan, Priape, Osiris, Khem, Amoun, Mentu, Heraclès, et c'est évidemment valable pour toutes les mythologies du monde.
Né mille ans plus tôt, Alexandre le Grand serait considéré aujourd'hui comme une divinité primitive de la jeunesse et du printemps.
Idem pour la transmission, toujours miraculeuse, des œuvres des grands génies : Mozart a été enterré dans la fosse commune et Van Gogh n'a jamais vendu une toile de sa vie... Nous pouvons travailler sans lust of result : il suffit d'être génial.
Donald Trump a une merveilleuse occasion d'accomplir cet upgrade, peu importe que ce soit en renversant l'ordre politique mondial, en terminant comme Scarface ou en livrant Joe Biden à un caribou en rut. Il faut qu'il upgrade. Ce siècle manque de vraies légendes, principalement parce qu'il en crée sans arrêt de fausses (showbiz, sports, etc.) - des "légendes" de si faible voltage qu'en l'absence d'ahurissement médiatique continuel, on oublie en une semaine qu'elles ont jamais existé. Le truc marche dans les deux sens ou, comme on dit des académiciens : immortels durant leur vie, inconnus dès leur mort, l'anti-Van Gogh, etc.
17.25 : Resh à 17.20 (PF). Nuit est très en beauté. Vais me préparer pour XLIV.
18.29 : XLIV accompli. Consacré le sacrifice sanglant aux intentions laissées par nos frères et sœurs hier et ce matin.
21.57 : Fabuleux dîner (œufs meurette, chateaubriand aux pommes w/ écrasé de p. de terre, sabayon aux poires x raisins), Oraison du Coucher, je vais étudier un moment le Livre des Mensonges et dormir.
Du reste, il n'y a rien d'autre à savoir sur Terre que : la Lumière Infinie arrive neutre. Selon la façon dont l'homme s'expose à elle (pensées, paroles et actions), elle tourne en rigueur (din) ou en bénédiction (chesed), de la même manière que le soleil embellit ou crame selon la gestion de l'indice UV.
"Examiner sa conduite" n'est pas quelque chose de moral, mais quelque chose de technique : faire en sorte que la Lumière tourne toujours vers chesed, parce qu'il est plus agréable de vivre avec de la chance, de la santé et de l'argent. Voilà pour la vie profane et la Proclamation d'Innocence.
(Pour le troglodyte lambda, qui choisit de ne pas recourir au libre arbitre et de vivre en animal, la Lumière tourne nécessairement en rigueur : la "loi de l'emmerdement maximum" existe bel et bien, parce que le propre de l'énergie est de tendre vers la matière, comme le propre de l'homme est de tendre vers la femme : si on "laisse faire", la Lumière tourne obligatoirement en rigueur. Question d'inertie.)
L'Initiation, en revanche, a pour objet de rendre l'homme progressivement capable d'encaisser la Lumière directe : qu'elle puisse ne tourner ni à droite, ni à gauche mais passer par le Pilier du Milieu (phénomène appelé Metzla), suscitant, selon le degré, la Paix, l'Illumination et l'Union à H'. C'est absolument tout. Le malheur de l'homme est de se laisser persuader par choronzon - l'Inertie, encore elle - de confondre Justesse et eau tiède. Et c'est là que le Livre de la Loi intervient.
8.40 : Resh 7.39, Bénédiction, Liber Reguli 7.50 -> 8.31. Vais redormir un peu. Tout succube désirant hanter mon sommeil est prié de prendre la forme de Selena Gomez.
10.55: Aucun souvenir de ce que les succubes m'ont fait subir. Commence la journée au Chivas : mon problème avec les très bons whiskies, c'est que je suis incapable d'en savourer un verre et de remettre la carafe à sa place pour un autre jour. Si je la commence, je la finis : je ne me contente pas d'un diadème, il me faut une couronne fermée.
12.31 : Resh à 12.29 (EP). Vais de ce pas faire THI ♑︎ (T).
13.11 : On me dit que Donald Trump fait face. Admirable. Il a l'occasion de devenir une légende, i.e. de se hisser au-dessus de l'histoire. N'importe quelle personne accédant au rang de chef d'Etat entre dans l'histoire en prenant ses fonctions : il est dès lors, en effet, impossible de raconter l'histoire complète de cet Etat sans nommer cette personne. La légende, elle, est un cran au-dessus et c'est pourquoi Fernand Nathan vous enseigne que "légende" veut dire "fable", alors que légende signifie littéralement "ce dont on parle".
Au plan occulte, un homme devient légendaire dès qu'il impacte suffisamment l'astral et, partant, le vécu collectif : même si toutes les preuves de son existence physique sont détruites ou falsifiées, l'humanité continuera bizarrement, et via des détours très inattendus, de célébrer sa mémoire. Cela vaut pour les saints, les héros, les lettrés, les artistes et, bien entendu les souverains.
Fernand Nathan veut faire disparaître Mérovée - mais il a donné son nom à une dynastie ; il veut faire disparaître Dagoberth, mais une comptine lui assure l'immortalité ; il veut faire disparaître Charles Martel et prétendre que la bataille de Poitiers n'a jamais eu lieu : l'Islam, hélas pour Fernand, transmet religieusement le souvenir de "la bataille pavée de martyrs" et, jusqu'au XXe siècle, appelait, en raison de cette bataille, tous les Occidentaux des Francs, etc.
On ne peut raconter l'Histoire de France dans son intégralité sans citer les rois Clovis IV, Raoul et François II, mais seuls les spécialistes connaissent leur œuvre. En revanche, on parlera de Charlemagne, de François Ier, d'Henri IV, de Louis XIV et de Napoléon tant que le monde durera, parce qu'ils ont irréversiblement imprimé la pellicule : ils sont dans la légende.
Quand les historiens font trop de dégâts, et à moins que les archéologues ne s'en mêlent, il ne reste plus, des grand hommes, que la légende. Elle est donc le fin mot de l'affaire, la seule chose qui importe, parce que la seule chose qui demeure : < they pass & are done, but there is that which remains >, comme il est écrit (AL 2, 9). Voir Arthur, Merlin l'Enchanteur, Perceval, et tous les grands anciens appelés "dieux", cad hommes dont on n'a retenu que l'ipséité : Krishna, Tahuti, Dionysos, Pan, Priape, Osiris, Khem, Amoun, Mentu, Heraclès, et c'est évidemment valable pour toutes les mythologies du monde.
Né mille ans plus tôt, Alexandre le Grand serait considéré aujourd'hui comme une divinité primitive de la jeunesse et du printemps.
Idem pour la transmission, toujours miraculeuse, des œuvres des grands génies : Mozart a été enterré dans la fosse commune et Van Gogh n'a jamais vendu une toile de sa vie... Nous pouvons travailler sans lust of result : il suffit d'être génial.
Donald Trump a une merveilleuse occasion d'accomplir cet upgrade, peu importe que ce soit en renversant l'ordre politique mondial, en terminant comme Scarface ou en livrant Joe Biden à un caribou en rut. Il faut qu'il upgrade. Ce siècle manque de vraies légendes, principalement parce qu'il en crée sans arrêt de fausses (showbiz, sports, etc.) - des "légendes" de si faible voltage qu'en l'absence d'ahurissement médiatique continuel, on oublie en une semaine qu'elles ont jamais existé. Le truc marche dans les deux sens ou, comme on dit des académiciens : immortels durant leur vie, inconnus dès leur mort, l'anti-Van Gogh, etc.
17.25 : Resh à 17.20 (PF). Nuit est très en beauté. Vais me préparer pour XLIV.
18.29 : XLIV accompli. Consacré le sacrifice sanglant aux intentions laissées par nos frères et sœurs hier et ce matin.
21.57 : Fabuleux dîner (œufs meurette, chateaubriand aux pommes w/ écrasé de p. de terre, sabayon aux poires x raisins), Oraison du Coucher, je vais étudier un moment le Livre des Mensonges et dormir.