Amis chers, gens beaux et heureux,
Do what thou wilt shall be the whole of the Law.
C'est aujourd'hui le quatre cent vingt et unième anniversaire du Martyr de Giordano Bruno (que DIEU venge son sang) et, ma foi, la cancel culture étant l'excommunication, le deplatforming la mise à l'index et l'accountability la chasse aux hérétiques, je suppose que si les Chrétiens se plaignent d'une "déchristianisation des mœurs en Occident", c'est parce qu'on n'y brûle pas encore physiquement les non-woke.
Amis chers, la Lecture de ce mercredi est le Liber LXV : Liber Cordis Cincti Serpente sub figurâ אדני, chapitre 1, versets 61 à 64.
61. That is thy drunkenness, O holy one, and the winds whirl away the soul of the scribe into the happy haven.
Commentaire : Le rabbin cabaliste qui s'apprête à célébrer Pourim, la rockstar sur le point de monter sur scène et le clubber enjoué du temps où il y avait des clubs, partagent un Secret : l'alcool ayant pour effet neurologique de stimuler l'hémisphère droit du cerveau et d'en inhiber l'hémisphère gauche — et les hémisphères commandant à la partie du corps qui leur est opposée — l'ivresse déclenche le Chesed divin.
D'où : "Il y a un Bon Dieu pour les ivrognes" — et le merveilleux fast forward de l'ébriété, qui néantise la Restriction, pulvérise l'obstacle et que le peuple appelle "la Chance".
C'est un Arcane qu'au regard du calendrier troglodyte, on pourrait formuler cette année : Pourim en plein Carême.
62. O Lord God ! let the haven be cast down by the fury of the storm ! Let the foam of the grape tincture my soul with Thy light !
Commentaire : De ce verset, Fra Aureus écrit : < Jumping over your own shadow is impossible > — c'est-à-dire : n'oubliez jamais que la descente est inévitable : l'I am I n'est que momentanément anesthésié par l'extase spirituelle, l'harmonie communautaire ou le plaisir sensible : comme tout natif du Cancer, la lumière le rend agressif et, dès l'instant de son réveil, il rentrera par la fenêtre en vrombissant dans les aigus.
Tout le malheur de l'homme est dans le Solstice d'Eté, c'est-à-dire dans l'impossibilité de rester sur ses gardes à l'instant du pic orgasmique : c'est ainsi qu'une nation s'endort dans une opérette d'Offenbach et se réveille à Biribi, que le boomer hippie devient boomer yuppie, qu'on est encore à rire de la sortie du président Chirac au fort de Brégançon quand le World Trade Center dégringole tout seul.
63. Bacchus grew old, and was Silenus ; Pan was ever Pan for ever and ever more throughout the æons.
Commentaire : Aujourd'hui, 17 février 2021 e.v., les Chrétiens, qui supplicient Giordano Bruno, entrent en Carême alors que les Juifs, qui, eux, supplicient Haman, se préparent à Pourim — Outre sa portée symbolique évidente, cette coïncidence est délicieusement synchrone au sens profond de ce verset.
64. Intoxicate the inmost, O my lover, not the outermost !
Commentaire : Telle une nation gouvernée par un Sage, ou une door bitch qui sait son métier, chérissez ce qui est en vous et excluez sans ménagement ce qui vient de l'extérieur, car le stockage de connaissances googlesques nourrit Da'ath, dont se nourrit l'I am I qui transforme Patrocle en Zaza Napoli.
Toutes les bénédictions.
Love is the law, love under will.
- ☉︎ in 28° ♒︎ : ☽︎ in 3° ♉︎ : ☿︎ : Ⅴⅴⅰ.
Précèdent commentaire sur ce péricope: Funky chrysogomphe (2020)
Do what thou wilt shall be the whole of the Law.
C'est aujourd'hui le quatre cent vingt et unième anniversaire du Martyr de Giordano Bruno (que DIEU venge son sang) et, ma foi, la cancel culture étant l'excommunication, le deplatforming la mise à l'index et l'accountability la chasse aux hérétiques, je suppose que si les Chrétiens se plaignent d'une "déchristianisation des mœurs en Occident", c'est parce qu'on n'y brûle pas encore physiquement les non-woke.
Amis chers, la Lecture de ce mercredi est le Liber LXV : Liber Cordis Cincti Serpente sub figurâ אדני, chapitre 1, versets 61 à 64.
61. That is thy drunkenness, O holy one, and the winds whirl away the soul of the scribe into the happy haven.
Commentaire : Le rabbin cabaliste qui s'apprête à célébrer Pourim, la rockstar sur le point de monter sur scène et le clubber enjoué du temps où il y avait des clubs, partagent un Secret : l'alcool ayant pour effet neurologique de stimuler l'hémisphère droit du cerveau et d'en inhiber l'hémisphère gauche — et les hémisphères commandant à la partie du corps qui leur est opposée — l'ivresse déclenche le Chesed divin.
D'où : "Il y a un Bon Dieu pour les ivrognes" — et le merveilleux fast forward de l'ébriété, qui néantise la Restriction, pulvérise l'obstacle et que le peuple appelle "la Chance".
C'est un Arcane qu'au regard du calendrier troglodyte, on pourrait formuler cette année : Pourim en plein Carême.
62. O Lord God ! let the haven be cast down by the fury of the storm ! Let the foam of the grape tincture my soul with Thy light !
Commentaire : De ce verset, Fra Aureus écrit : < Jumping over your own shadow is impossible > — c'est-à-dire : n'oubliez jamais que la descente est inévitable : l'I am I n'est que momentanément anesthésié par l'extase spirituelle, l'harmonie communautaire ou le plaisir sensible : comme tout natif du Cancer, la lumière le rend agressif et, dès l'instant de son réveil, il rentrera par la fenêtre en vrombissant dans les aigus.
Tout le malheur de l'homme est dans le Solstice d'Eté, c'est-à-dire dans l'impossibilité de rester sur ses gardes à l'instant du pic orgasmique : c'est ainsi qu'une nation s'endort dans une opérette d'Offenbach et se réveille à Biribi, que le boomer hippie devient boomer yuppie, qu'on est encore à rire de la sortie du président Chirac au fort de Brégançon quand le World Trade Center dégringole tout seul.
63. Bacchus grew old, and was Silenus ; Pan was ever Pan for ever and ever more throughout the æons.
Commentaire : Aujourd'hui, 17 février 2021 e.v., les Chrétiens, qui supplicient Giordano Bruno, entrent en Carême alors que les Juifs, qui, eux, supplicient Haman, se préparent à Pourim — Outre sa portée symbolique évidente, cette coïncidence est délicieusement synchrone au sens profond de ce verset.
64. Intoxicate the inmost, O my lover, not the outermost !
Commentaire : Telle une nation gouvernée par un Sage, ou une door bitch qui sait son métier, chérissez ce qui est en vous et excluez sans ménagement ce qui vient de l'extérieur, car le stockage de connaissances googlesques nourrit Da'ath, dont se nourrit l'I am I qui transforme Patrocle en Zaza Napoli.
Toutes les bénédictions.
Love is the law, love under will.
- ☉︎ in 28° ♒︎ : ☽︎ in 3° ♉︎ : ☿︎ : Ⅴⅴⅰ.
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